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Abstention 2007

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  • Abstention 2007 16 mars 2014 19:27

    Le colère populaire existe bien. Et le pire, c’est que la déception par rapport au monde politique est devenue telle, qu’elle est de plus en plus aisément récupérée par des mouvements pas très clairs. Par exemple, la dernière manifestation du genre « Dieudonné + divers » à Paris a réuni plus de monde que celles du Front de Gauche.

    Défendre efficacement et dans la transparence la liberté de l’internet serait aussi une manière d’éviter des errements sur un plan politique plus global.



  • Abstention 2007 16 août 2013 17:35

    En tant que directeur du think tank Bruegel, Pisani-Ferry a participé à la réunion de Bilderberg de 2009 à Athènes. Voir, par exemple (page 17, rubrique INT) :

    http://bilderberg2013.co.uk/wp-content/uploads/2013/05/BilderbergConflictsofInterest.pdf



  • Abstention 2007 23 octobre 2007 16:19

    D’abord, rappelons le texte complet du début de l’article du New York Times :

    October 21, 2007

    Editorial

    Pseudoscientific Bigotry in France

    Immigration issues bring out the worst instincts in politicians who should know better. Congress showed that earlier this year. Now it is the turn of France’s Parliament. It is moving toward final approval of an ugly new law that would introduce DNA testing as a potential basis for excluding prospective immigrants hoping to reunify with family members already living in France.

    DNA testing can be a useful tool in establishing criminal guilt or innocence. But it has no rightful place in immigration law. Modern French families, like modern American families, are constituted on many bases besides bloodlines and genetics. This is something most French politicians and voters should be aware of.

    They should also be aware of the cautionary lessons of modern French history. Under the Nazi occupiers and their Vichy collaborators, pseudoscientific notions of pure descent were introduced into French law with tragic consequences.

    (fin de l’extrait)

    L’article souligne d’emblée qu’aux USA également, il s’en passe de grosses. Le tableau est celui du tandem Sarko - Bush. Rien à dire, mais Clinton - Royal, serait-ce vraiment mieux ?

    Le rôle des « Démocrates » US à l’égard du régime nazi, sous Roosevelt, fut tout sauf clair. Lire « IBM et l’Holocauste », d’Edwin Black, Robert Laffont 2001. Et la guerre du Viêt Nam fut initiée par Kennedy et Johnson. Celle de Yougoslavie, ce fut Bill Clinton, etc...

    Quant à Ségolène Royal, qui se réclame de la « lignée mitterrandienne », lire par exemple :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=12532

    ainsi que l’ouvrage « La main droite de Dieu », Seuil 1994, sur les rapports entre Mitterrand et l’extrême-droite. Sur la Toile, on trouve cet extrait :

    http://michel.delord.free.fr/maindroite.pdf

    En France comme aux Etats-Unis, on a affaire aux méthodes de l’impérialisme protectionniste inventé par des gens comme Léon Gambetta, Jules Ferry et les autres « républicains opportunistes » du « centre-gauche ». Quel que soit le parti au pouvoir, ces méthodes n’ont pas changé depuis les années 1880 pour la France et depuis le début du XX Siècle pour les Etats-Unis.

    Le fichage génétique est une méthode policière qui, si on la laisse prospérer, deviendra une « technique » du flicage planétaire euro-US, et peu importe qui gouvernera.

    Lire aussi :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=228

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=235

    ou, sur l’Europe militaire que Royal et Bayrou ont défendue encore plus fortement que Sarkozy :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=118

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=148

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=182

    « Droite », « centre » ou « gauche », « démocrates » ou « républicains », cela ne fait strictement aucune véritable différence.

    Quant au racisme, n’oublions pas la théorie des « droits de devoirs des races supérieures » de Jules Ferry et consorts rappelée dans ces articles :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=87

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=119



  • Abstention 2007 23 octobre 2007 11:28

    Le véritable problème ne réside pas dans l’initiative de Sarkozy. Bien au contraire, souhaitons qu’elle soit maintenue tous les ans et que les gens y participent de manière de plus en plus conséquente.

    Ce qui bloque, c’est la culture de notre époque basée sur l’individualisme, le carriérisme, la soumission aux puissants via le prétendu « esprit d’entreprise », et la culture du « il faut oublier » répandue par Mitterrand-la-Francisque qui avait été jusqu’à poser des gerbes au Maréchal Pétain. Or, qui a poussé Mitterrand à la présidence de la République ? Les mêmes qui à présent dénigrent l’initiative de Sarkozy.

    L’année dernière, Ségolène Royal revendiquait encore la « lignée mitterrandienne », lire par exemple :

    http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=12532

    On peut, certes, reprocher à Sarkozy d’être aux antipodes de l’heritage de Guy Môquet et de ses camarades lorsqu’il s’acoquine avec les lobbies « pro-européens » ou avec Bush, lire :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=228

    Sarkozy, Bush, médias, lobbying... et ce qu’on nous prépare (1)

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=235

    Nicolas Sarkozy, capitalisme de choc et alliance impérialiste Europe-USA

    Mais l’ennui, c’est que ni Bayrou ni Royal n’auraient mené une politique différente de celle de Sarkozy. Matière « construction » de l’Europe impérialiste, les deux étaient pires encore que lui oendant la campagne des présidentielles. Sur l’Europe militaire, lire notamment :

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=118

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=148

    http://blog.360.yahoo.com/quicalt?p=182

    On a d’ailleurs fait beaucoup de caricatures de la commémoration d’hier, mais rappelons encore le texte de la circulaire ministérielle qui à mon sens ne contient rien d’aberrant :

    22 OCTOBRE : COMMÉMORATION DU SOUVENIR DE GUY MÔQUET ET DE SES 26 COMPAGNONS FUSILLÉS

    N.S. n° 2007-138 du 2-8-2007 NOR : MENE0701517N RLR : 554-9 MEN - DGESCO B2-3

    Texte adressé aux rectrices et recteurs d’académie ; au directeur de l’académie de Paris ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation nationale ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, inspectrices et inspecteurs pédagogiques régionaux d’histoire et de géographie et de lettres ; aux inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale de lettres, d’histoire et géographie et de lettres-histoire ; aux proviseures et proviseurs

    Le 22 octobre 2007, le président de la République commémorera le souvenir de Guy Môquet, cet élève résistant du lycée Carnot arrêté à 16 ans en octobre 1940, puis fusillé le 22 octobre 1941 après avoir adressé, la veille de sa mort, une lettre poignante à sa mère. Cet épisode n’est malheureusement pas le seul moment tragique de cette période sombre, mais il fait partie des temps forts de l’histoire de notre pays et, à ce titre, mérite de servir d’exemple à la jeune génération.

    La commémoration de la mort de Guy Môquet, de ses 26 compagnons d’infortune et de tous les autres fusillés est en effet l’occasion de rappeler aux élèves des lycées l’engagement des jeunes gens et jeunes filles de toutes régions et de tous milieux qui firent le choix de la résistance, souvent au prix de leur vie. Tous méritent que l’on se souvienne : ainsi Gilbert Dru, cet étudiant de lettres engagé très jeune dans le combat contre l’occupant nazi assassiné le 27 juillet 1944 par la Gestapo ; ou encore Jacques Baudry, Jean-Marie Arthus, Pierre Benoît, Pierre Grelot et Lucien Legros, élèves de première au lycée Buffon à Paris, qui furent fusillés par les Allemands le 8 février 1943 pour faits de résistance accomplis depuis l’âge de 15 ans.

    Tous ces jeunes Français d’alors, passion nément attachés à la liberté au point de sacrifier leur propre vie pour défendre celle des autres, constituent un formidable exemple pour les jeunes d’aujourd’hui. Leur mémoire évoque les valeurs de liberté d’égalité et de fraternité qui font la force et la grandeur de notre pays et qui appellent le sens du devoir, le dévouement et le don de soi. Ce sont ces valeurs que le Chef de l’État a souhaité honorer le jour de son investiture, lors d’une cérémonie au Monument de la Cascade du Bois de Boulogne en évoquant le souvenir de Guy Môquet : “Soyez fiers de vos aînés qui vous ont tant donné ; aimez la France car c’est votre pays et que vous n’en avez pas d’autre”.

    Ces valeurs de courage et d’engagement furent partagées par d’autres, à l’instar de ces jeunes allemands comme les fondateurs de la “Rose blanche”, Alexander Schmorell, Hans et Sophie Scholl décapités le jour même de leur condamnation pour avoir lutté contre le nazisme dans leur propre pays ou de tous ceux qui, un peu partout en Europe, surent faire passer leurs idéaux de liberté et de justice avant toute autre considération.

    Individuelle ou collective, nationale et européenne, la mémoire de la Seconde Guerre mondiale est encore aujourd’hui une condition du vivre ensemble et c’est pourquoi le ministère de l’éducation nationale entend s’associer avec force à la commémoration du 22 octobre. C’est pourquoi je demande aux chefs d’établissements de mobiliser les équipes éducatives autour de ce souvenir et de ce qu’il signifie.

    La commémoration au cours de la matinée du 22 octobre commencera par la lecture, en classe ou en grand groupe selon le choix des établis sements, de la lettre de Guy Môquet. Cette lecture pourra être confiée à tous ceux qui, résistants ou déportés, peuvent aujourd’hui encore témoigner directement des sacrifices consentis. J’invite à cet effet les équipes éducatives à se rapprocher des fondations et associations de mémoire afin d’établir ce lien tangible entre les générations. Il sera également possible de solliciter toute personnalité dont l’engagement, le rayonnement ou la notoriété pourraient sensibiliser les élèves. Cette lecture pourra être suivie d’autres, laissées à l’initiative de chacun et choisies par exemple parmi les textes ci-joints.

    Le programme se poursuivra par une réflexion collective menée dans le cadre de la classe. On exploitera notamment les thèmes liés à la mémoire de la Seconde Guerre mondiale dans les programmes d’enseignement notamment d’histoire, de lettres, de philosophie. Ce sera également l’occasion de mobiliser les équipes éducatives sur l’édition 2008 du Concours national de la Résistance et de la déportation : “L’aide aux personnes persécutées et pourchassées en France pendant la seconde guerre mondiale : une forme de résistance” (B.O. n° 17 du 26 avril 2007).

    Enfin les établissements pourront mettre en place d’autres initiatives à leur convenance (évocation de lieux de mémoire, jumelages interculturels, expositions, productions de documents, etc.). Afin d’aider à la mise en œuvre de ces projets la direction générale de l’enseignement scolaire met en ligne, en partenariat avec l’association Civisme et Démocratie, des ressources pédagogiques dédiées (http://eduscol.education.fr/D0090/parcours_liste.htm).

    J’invite les chefs d établissements à adresser, à titre d’information et à fins de valorisation, copies ou descriptifs de leurs projets à la direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO B2-3, 110, rue de Grenelle, 75357 Paris SP 07).

    Je remercie l’ensemble des équipes éducatives de s’associer à cette commémoration et je demande aux corps d’inspection territoriale de suivre avec attention les modalités de sa mise en œuvre.

    Le ministre de l’éducation nationale

    Xavier DARCOS



  • Abstention 2007 22 octobre 2007 18:54

    Rappelons l’objet officiel de la commémoration. L’essence du texte ne paraît pas, en soi, contestable :

    bulletin officiel [B.O.] n° 30 du 30 août 2007 - sommaire > MENE0701517N

    22 OCTOBRE : COMMÉMORATION DU SOUVENIR DE GUY MÔQUET ET DE SES 26 COMPAGNONS FUSILLÉS

    N.S. n° 2007-138 du 2-8-2007 NOR : MENE0701517N RLR : 554-9 MEN - DGESCO B2-3

    Texte adressé aux rectrices et recteurs d’académie ; au directeur de l’académie de Paris ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, directrices et directeurs des services départementaux de l’éducation nationale ; aux inspectrices et inspecteurs d’académie, inspectrices et inspecteurs pédagogiques régionaux d’histoire et de géographie et de lettres ; aux inspectrices et inspecteurs de l’éducation nationale de lettres, d’histoire et géographie et de lettres-histoire ; aux proviseures et proviseurs

    Le 22 octobre 2007, le président de la République commémorera le souvenir de Guy Môquet, cet élève résistant du lycée Carnot arrêté à 16 ans en octobre 1940, puis fusillé le 22 octobre 1941 après avoir adressé, la veille de sa mort, une lettre poignante à sa mère. Cet épisode n’est malheureusement pas le seul moment tragique de cette période sombre, mais il fait partie des temps forts de l’histoire de notre pays et, à ce titre, mérite de servir d’exemple à la jeune génération.

    La commémoration de la mort de Guy Môquet, de ses 26 compagnons d’infortune et de tous les autres fusillés est en effet l’occasion de rappeler aux élèves des lycées l’engagement des jeunes gens et jeunes filles de toutes régions et de tous milieux qui firent le choix de la résistance, souvent au prix de leur vie. Tous méritent que l’on se souvienne : ainsi Gilbert Dru, cet étudiant de lettres engagé très jeune dans le combat contre l’occupant nazi assassiné le 27 juillet 1944 par la Gestapo ; ou encore Jacques Baudry, Jean-Marie Arthus, Pierre Benoît, Pierre Grelot et Lucien Legros, élèves de première au lycée Buffon à Paris, qui furent fusillés par les Allemands le 8 février 1943 pour faits de résistance accomplis depuis l’âge de 15 ans.

    Tous ces jeunes Français d’alors, passion nément attachés à la liberté au point de sacrifier leur propre vie pour défendre celle des autres, constituent un formidable exemple pour les jeunes d’aujourd’hui. Leur mémoire évoque les valeurs de liberté d’égalité et de fraternité qui font la force et la grandeur de notre pays et qui appellent le sens du devoir, le dévouement et le don de soi. Ce sont ces valeurs que le Chef de l’État a souhaité honorer le jour de son investiture, lors d’une cérémonie au Monument de la Cascade du Bois de Boulogne en évoquant le souvenir de Guy Môquet : “Soyez fiers de vos aînés qui vous ont tant donné ; aimez la France car c’est votre pays et que vous n’en avez pas d’autre”.

    Ces valeurs de courage et d’engagement furent partagées par d’autres, à l’instar de ces jeunes allemands comme les fondateurs de la “Rose blanche”, Alexander Schmorell, Hans et Sophie Scholl décapités le jour même de leur condamnation pour avoir lutté contre le nazisme dans leur propre pays ou de tous ceux qui, un peu partout en Europe, surent faire passer leurs idéaux de liberté et de justice avant toute autre considération.

    Individuelle ou collective, nationale et européenne, la mémoire de la Seconde Guerre mondiale est encore aujourd’hui une condition du vivre ensemble et c’est pourquoi le ministère de l’éducation nationale entend s’associer avec force à la commémoration du 22 octobre. C’est pourquoi je demande aux chefs d’établis sements de mobiliser les équipes éducatives autour de ce souvenir et de ce qu’il signifie.

    La commémoration au cours de la matinée du 22 octobre commencera par la lecture, en classe ou en grand groupe selon le choix des établis sements, de la lettre de Guy Môquet. Cette lecture pourra être confiée à tous ceux qui, résistants ou déportés, peuvent aujourd’hui encore témoigner directement des sacrifices consentis. J’invite à cet effet les équipes éducatives à se rapprocher des fondations et associations de mémoire afin d’établir ce lien tangible entre les générations. Il sera également possible de solliciter toute personnalité dont l’engagement, le rayonnement ou la notoriété pourraient sensibiliser les élèves. Cette lecture pourra être suivie d’autres, laissées à l’initiative de chacun et choisies par exemple parmi les textes ci-joints.

    Le programme se poursuivra par une réflexion collective menée dans le cadre de la classe. On exploitera notamment les thèmes liés à la mémoire de la Seconde Guerre mondiale dans les programmes d’enseignement notamment d’histoire, de lettres, de philosophie. Ce sera également l’occasion de mobiliser les équipes éducatives sur l’édition 2008 du Concours national de la Résistance et de la déportation : “L’aide aux personnes persécutées et pourchassées en France pendant la seconde guerre mondiale : une forme de résistance” (B.O. n° 17 du 26 avril 2007).

    Enfin les établissements pourront mettre en place d’autres initiatives à leur convenance (évocation de lieux de mémoire, jumelages interculturels, expositions, productions de documents, etc.). Afin d’aider à la mise en œuvre de ces projets la direction générale de l’enseignement scolaire met en ligne, en partenariat avec l’association Civisme et Démocratie, des ressources pédagogiques dédiées (http://eduscol.education.fr/D0090/parcours_liste.htm).

    J’invite les chefs d établissements à adresser, à titre d’information et à fins de valorisation, copies ou descriptifs de leurs projets à la direction générale de l’enseignement scolaire (DGESCO B2-3, 110, rue de Grenelle, 75357 Paris SP 07).

    Je remercie l’ensemble des équipes éducatives de s’associer à cette commémoration et je demande aux corps d’inspection territoriale de suivre avec attention les modalités de sa mise en œuvre.

    Le ministre de l’éducation nationale

    Xavier DARCOS

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