Rentier, né en France,vivant depuis 25 ans en erets Israël, terre de mes ancêtres.
J’aime les belles femmes, surtout la mienne, et les beaux chiens, comme mon braque de Weimar.
Mes écrivains préférés : Dieu, Proust et Tolstoï.
Amoureux fou de mon pays, terre ardue et rude qu’il faut mériter, armes à la main si nécessaire.
. Mais Mahmoud Abbas est tout sauf linéaire. Homme de l’ombre d’abord, homme d’appareil ensuite. Comparé à la majorité de ses collègues au sein de la direction palestinienne, il accumule les décalages. A commencer par son apparence extérieure. De taille moyenne, on ne l’a jamais vu qu’en costume-cravate, en général dans les gris. Ses lunettes, sa moustache et un air affable ajoutent à ce côté force tranquille, plus enclin à la réflexion intellectuelle qu’aux joutes idéologiques. Et pourtant, l’idéologie, ça le connaît. On ne fait pas partie du bureau politique d’une organisation comme l’OLP sans une solide grille de lecture de l’histoire contemporaine. Au début des années 80, il est à Moscou, où il soutient une thèse de doctorat consacrée à la Shoah. Mahmoud Abbas a choisi ce sujet pour en examiner un aspect très particulier : les relations secrètes entre les nazis et le mouvement sioniste. Il discute « le nombre de victimes juives qui, écrit-il, pourrait être de 6 millions, mais pourrait être également de moins de 1 million ». Cela lui vaut d’être accusé par Israël de négationnisme. Les écrits restent. Il ne peut donc rien démentir, sinon expliquer qu’en ces années-là il était en guerre contre Israël. Dans une récente interview au quotidien israélien Haaretz, il a répondu en affirmant : « L’Holocauste fut un crime terrible, impardonnable contre le peuple juif, un crime contre l’humanité qui ne peut être accepté par le genre humain. » Ce n’est pas un hasard si, dans sa déclaration au sommet d’Aqaba, il a aussi parlé de la nécessité de « ne pas oublier la souffrance vécue par le peuple juif à travers les siècles ».
la horde des fachos Islamistes s’est déchainé sur ce fil !
laissons les éructer et regardons de face la France d’aujourd’hui, cette cinquième colonne « cancérise » notre société.