• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Adrien

Fonctionnaire et docteur en droit public, je dispense, en parallèle à mes responsabilités au service de l'Etat, des enseignements à l'Université.
Je publie assez fréquemment dans des revues spécialisées de droit public et de sciences politiques.
Je m'efforce, à contresens de tout positivisme et de toute forme d'érudition bien-pensante, enfermée dans une technicité sèche, de développer une approche critique des sujets de science politique et de droit sur lesquels je fais porter mes recherches.
Adrien

Tableau de bord

  • Premier article le 14/06/2014
  • Modérateur depuis le 28/02/2015
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 4 29 157
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0
Modération Depuis Articles modérés Positivement Négativement
L'inscription 0 0 0
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique







Derniers commentaires



  • Adrien 10 juillet 2014 13:18

    Vous avez parfaitement raison.

    Dans le même temps il semble difficile d’ouvrir l’école à toutes revendications identitaires, au simple motif qu’elles sont insuffisamment satisfaites dans la vie « réelle » : c’est la boîte de pandore (cf. pressions des communautés historiques : arméniennes, algérienne ...) confessionnelle (israélites au nom du génocide juif) ; ethnique : noire au nom du génocide généré par la traite négrière, tzigane...).

    Toutes revendications légitimes au fond mais que l’école ne peut satisfaire que dans un message rassembleur. Exemples à l’appui certes ... Mais il ne faut pas renverser la logique : disserter autour d’un exemple unique qui lésera forcément les autres communautés. L’universalité du message tient à se devoir d’abstraction du pédagogue. 

    Je n’ai pas voulu dire plus.

    Adrien



  • Adrien 9 juillet 2014 23:09

    Vous pouvez développer ?



  • Adrien 16 juin 2014 22:44

    Pôle de renaissance communiste en France ? Voilà autre chose ...

    Vous faites la pub de votre groupuscule en proclamant comme beaucoup d’autres ici votre attachement inconditionnel, votre fidélité à la lettre de l’Apôtre. Cela, je le crains, ne fera pas avancer d’un iota votre cause. Proclamer son intégrisme ne peut que vous faire passer pour un intégriste, au-delà du dernier carré dont vous êtes.

    Rejeter la ligne du PCF - dont je ne suis pas le promoteur, ne vous donne pas plus de légitimité : le questionnement que je pose - si jamais vous m’avez lu est celui du divorce entre la lettre et la réalité : où sont les causes de ce divorce ? Vous ne convaincrez pas en proclamant seulement votre rejet du PCF. Cela ne suffira pas à vous créer un statut ni une légitimité. Aux yeux de tous vous resterez une secte, englobée dans un tout : l’expérience communiste. Et vos incantations, de plus haute fidélité à la cause n’y changeront rien.

    Le mieux serait de réfléchir ensemble non ?



  • Adrien 16 juin 2014 22:35

    Invoquer votre intégrisme marxiste ne vous rend ni plus intelligent ni plus pertinent. Après m’être fait traité de social démocrate (ou social-traitre c’est du pareil aux mêmes chez les intégristes) me voilà, à présent en gauchiste et « idéaliste bourgeois ». Il paraît même que je me suis livré à une étude de l « idéologie en France » ... Ah bon ? Je pensais que mon sujet portait sur le schisme entre l’expérience communiste ou réputée telle (le communisme « réel ») et la lettre marxiste (le communisme en « théorie » que ne veulent voir que les intégristes de votre confrérie).

    Je reçois toute critique mais proclamer sa fidélité à la lettre marxiste est un peu comme le croyant devant la bible ou la Torah. Si vous connaissez la Torah mieux que moi (?) , cela fait de vous, tout simplement, un esprit plus religieux que le mien. Or je n’ai pas de religion. Donc vous gagnez : vous êtes l’apôtre, le disciple de Quiniou en somme (pour comprendre il faudrait que vous m’ayez lu et, fait plus hypothétique encore, compris). 

    Bref, je ne fais pas compétition de qui est le meilleur perroquet de votre gourou : va pour vos « fondamentaux de la pensée marxiste » si cela fait du bien à votre égo ... tout onanisme intellectuel, après tout, n’est pas à proscrire : si cela vous met en ébullition, la société réelle continuera de tourner sans vous et vos certitudes établies.



  • Adrien 15 juin 2014 21:18

    Fifi,

    Je ne suis que partiellement d’accord avec votre analyse : le multipartisme, des élections libres, la liberté syndicale ne sont pas la garantie d’une expression démocratique : si tous les partis s’entendent sur l’essentiel - le consensus libéral dans le système capitaliste - et rejettent à la marge l’opposition à ce système, si la liberté syndicale ne peut accéder à une vraie forme de démocratie économique, si les élections « libres » se soldent par des records d’abstention ou pire par des votes de rejet ... alors, la démocratie est en panne. Les contre-pouvoirs, depuis Montesquieu (« le pouvoir arrête le pouvoir ») n’ont jamais compromis la forme dominante du pouvoir : le modèle libéral survit à nos alternances « gauche » - droite/droite-gauche depuis des décennies : ces contre pouvoirs par les urnes en sont-ils vraiment qui laissent toujours intacts l’essentiel ? Leur raison d’être n’est-elle pas là précisément ? Au point que les électeurs s’en lassent et vont voir du côté des Le Pen, dernier avatar de la démocratie libérale ... 

    En un mot, je pense que la démocratie libérale est une forme d’expression démocratique. Pas le modèle ultime de démocratie. Ce qui ne fait pas de moi un inconditionnel de la bureaucratie socialiste.

    La référence au socialisme pour ne pas dire « communisme » : oui pourquoi pas ... Je ne vais pas vous quereller sur les mots. C’est le contenant qui compte, peu importe le flacon. Je vous objecte tout de même que le Che par exemple, dont l’image reste très forte en Amérique Latine n’était pas « socialiste » et que Cuba a une très forte aura dans les pays d’Amérique Latine, de par sa faculté de résistance à l’ « impérialisme » américain. Bien davantage que chez nous où l’atteinte aux droits de l’Homme déjuge en permanence ce petit pays ...

    Sans aller chercher si loin, nos socialistes à nous, n’ont plus grand chose à voir avec le « socialisme » si ce n’est un peu de rhétorique sociale dont ils s’affublent pour ne pas apparaître en sociaux-libéraux.

    Pour finir je suis d’accord avec vous : le bilan du « passif » ... et des quelques acquis (si l’on admet cette hypothèse) des expériences dites « communistes » est à faire ; de même que celui des raisons de l’échec global.

    Adrien

Voir tous ses commentaires (20 par page)


Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv