Je partage complètement l’avis de fond et l’analyse de la situation qui a précédé le bombardement atomique d’Hiroshima, de Frédéric Lyon. Mais je regrette qu’il ait utilisé des termes peu flatteurs pour apostropher ses contradicteurs. Ils se sont empressés de rebondir sur les petits mots d’oiseaux, fort aises de ne pas avoir à répondre à la réalité crue ennoncée dans la présentation des faits.