D’abord un conseil stomatologique, à force d’utiliser des gros mots tu va finir par avoir mauvaise haleine.
Ensuite, je crois que tu ne m’as pas bien compris : Pour moi et pour quelques autres que j’espère de plus en plus nombreux, PS et UMP même combat, il n’y a plus que toi pour faire une différence entre eux.
Enlève les peaux de saucissons que tu as devant les yeux et tu t’apercevras que François et Manuel surfe sur la même vague que ton cher Nico a initié en son temps.
Allégeance à Angéla, à la BCE, et Bruxelles, austérité tous azimut pour tous les Européens et la France en particulier avec un but à atteindre, les fameux 3% de déficit.
Crois tu que, si on les atteint un jour, on sera pour autant sorti d’affaire, que nenni, ils, PS ou UMP, peu importe qui sera au pouvoir à ce moment là, nous tannerons pour une nouvelle cure d’amaigrissement jusqu’à ce qu’on atteigne les 0% de déficit et une fois qu’on y sera, nouvelle cure pour s’y maintenir. Alors, ne te réjouis pas trop vite que l’UMP revienne en force, car si tu ne voteras plus FN à ce moment là, tu devras te tordre le bras pour voter FDG.
C’est marrant, les gens comme vous sont toujours du bon côté de la barrière.
Il ne vous serait pas venu à l’esprit que Mandéla se comportait, à l’époque, en terroriste face à un Etat terroriste qui pratiquait vis à vis de ses opposants une répression féroce, la torture, et l’emprisonnement par lettres de cachet
Pour rebondir sur Orwell, on a présenté son roman de science fiction publié en 1949 ,« 1984 », des années durant, pendant la guerre froide, comme une puissante charge anticommuniste.
On peut penser, aujourd’hui, qu’il décrit, en fait, l’étape ultime du système capitaliste : des dictatures « molles » qui, dans notre mondialisation, se font une guerre économique acharnée au service de la finance internationale qui détient, elle, le véritable pouvoir au détriment des populations de ces dictatures misent en concurrence sans aucun discernement.
Qui n’a pas pris les bonnes décisions à la Redoute « en son temps » afin de se moderniser et faire face à la concurrence, comme l’a fait Les 3 Suisses ?
Qui n’a pas été capable « d’avoir une vision » ?
Les employés de cette entreprise ?
Non, ce sont ses dirigeants.
Qui se retrouve, comme d’habitude, à la rue ? Les salariés de la Redoute.
Et ils n’ont pas forcément envie de payer les pots cassés de l’incompétence de leurs patrons.