Pour moi ça sera la plage. La sortie de l’Europe oui, mais comment ? L’article 50 du Traité de Lisbonne s’applique auxÉtatsqui en font la demande. Retrait qui est ensuite conclu par le Conseil de l’UE après approbation du Parlement Européen. Pour le moment, je n’envisage pas le gouvernement Hollande (ou le parlement) faire une telle démarche.
Exact. L’universitaire Anthony Sutton est moins controversé que Céline. Ses travaux sur l’ascension de Hitler (grâce à Wall Street) et le financement de la Révolution Bolchévique (également par Wall Street) sont les « chainons manquants » pour comprendre l’Histoire contemporaine du XXème siècle.
Pour une fois, plutôt d’accord avec l’article de Chalot. Le nombre de votes négatifs confirme le lâché de patouille de trolls financés par l’UE pour contrer les eurosceptiques, dont agoravox s’était fait l’écho l’an dernier. Alors que l’UE essaye de sauver la face d’un projet discrédité, la parution récente du livre noir de la présidence Baroso, ne peut qu’apporter de l’eau au moulin des eurosceptiques. http://corporateeurope.org/sites/default/files/record_captive_commission.pd f
Fergus Certes l’attitude abstentionniste ne débouchera sur rien à l’exception de montrer aux élites que les peuples européens ne veulent plus de l’Europe, en tout cas d’une Europe anti-démocratique et corrompue, aux mains des puissances financières et des lobbies. Et il est plus que certain que cette nouvelle élection ne changera pas cette réalité.
Quant à ceux qui portent atteinte à l’expression démocratique, l’annulation du référendum de 2005 (ainsi que ceux en Ukraine récemment), en dit long sur ce que vraiment pensent nos élites de l’expression populaire.
Aux Etats-Unis, les anciens trotskistes ont muté pour former la mouvance du néo-conservatisme. Orphelins de l’anti-communisme dont leur idéologie avait inspiré les politiques de l’ère Reagan, les néo-cons font un come-back au début des années 2000 pour inspirer celles de Bush 2.0 avec leur nouvelle croisade contre l’islamo-fascisme et la guerre au terrorisme. On remarquera aussi les liens historiques entre le trotskisme et l’élite ploutocrate sioniste, liens perpétués aujourd’hui par ses héritiers néo-cons. D’après Céline, les premiers fonds décisifs de la Révolution
Bolchevique furent fournis à Trotsky par les banquiers américains de la
haute finance à savoir : Paul Warburg, Loeb & Cie., Jacob Schiff et
quelques autres. Il est vrai qu’à l’époque il s’agissait de renverser le régime tsariste dont l’antisémitisme virulent fut responsable de nombreux pogroms.