C’est pas moi qui le dit, c’est Kevin Trenberth ! C’est
lui qui trouve qu’il est grotesque de ne pas pouvoir justifier le manque de
réchauffement actuel ni par les courants marins, ni par le CO2, ni par le
soleil. Donc que leurs modèles sont faux, à moins que ce ne soient leurs
données, ce qu’ils préféreraient. Les confrères de Trenberth réagissent
mollement et sans beaucoup de conviction : ils croient toujours au CO2,
mais n’arrivent plus à démontrer son influence dans leurs modèles 2007. Alors
ils attendent le prochain rapport de 2013 en espérant découvrir une tendance et
des causes convaincantes entretemps.
C’est vous qui trouvez plein de bonnes raisons pour l’influence
du CO2. Les vrais scientifiques sont beaucoup moins catégoriques. C’est qu’ils
s’y connaissent vraiment, eux !
Il
s’agit d’une controverse d’arrière garde. Les températures globales mesurées
par satellites ne correspondent plus aux températures calculées par les modèles
climatiques carbocentriques du GIEC (publiés en 2007, à partir de rapports de
2005 basés sur des chiffres encore antérieurs) depuis au moins dix ans. Mais les
membres du GIEC n’en parleront pas avant leur prochain rapport officiel de
2013. Néanmoins, dans un mail daté d’octobre 2009 adressé à Michael Mann et en
copie aux principaux climatologues du GIEC, Kevin Trenberth (membre du GIEC) le
reconnait quand il écrit que « le fait est » qu’ils ne peuvent
justifier (au moyen de leurs modèles climatiques) le manque de réchauffement
pour le moment, et que c’est une situation grotesque qu’ils ne le puissent pas.
(sauf à mettre en cause l’exactitude des données).
Actuellement,
il ne reste en lice que la théorie du changement climatique imputable à des
causes naturelles. Les émissions de CO2 ne seraient plus qu’une cause minime.
Il s’agit
néanmoins d’une controverse d’arrière garde. Les températures globales mesurées
par satellites ne correspondent plus aux modèles climatiques carbocentriques du
GIEC (publiés en 2007, à partir de rapports de 2005, basés sur des chiffres
encore antérieurs) depuis au moins dix ans. Mais ils n’en parlent pas encore
officiellement avant leur prochain rapport officiel de 2013. Néanmoins, dans un
mail daté d’octobre 2009 adressé à Michael Mann et en copie aux principaux
climatologues du GIEC, Kevin Trenberth (membre du GIEC) le reconnait quand il
dit que « le fait est » qu’ils ne peuvent justifier (au moyen de
leurs modèles climatiques) le manque de réchauffement pour le moment, et que
c’est une situation grotesque qu’ils ne le puissent pas. (sauf à mettre en cause
l’exactitude des données).
Normalement,
il ne reste en lice que la théorie du changement climatique imputable à des
causes naturelles. Les émissions de CO2 ne seraient plus qu’une cause minime.