Encore une qui fait un complexe de la « négritude » et un déni de l’esclavagisme noir.
Rappelons encore une fois que l’esclavagisme entre pays africains (noirs « esclavagisés » par d’autres noirs) a duré 13 siècles et exploité sur plus de 17 millions d’esclaves.
Ce déni historique lui permet d’opposer uniquement les blancs aux noirs et ainsi axer son discours sur l’apologie du « racisme blanc ».
Or, c’est de genre de comportement qui maintient et développe un racisme anti-blanc dans les antilles françaises (voir le programme de l’UGTG).
Que viennent faire vos élucubrations sur la colonisation française.
Le sujet est l’esclavage et le déni d’un esclavage et d’une exploitation des noirs entre eux (déni que manifestement vous partagez).
Ne vous en déplaise, le continent africain est dans l’impossibilité d’exploiter ses richesses ;
Sans le développement technologique dérivé de la révolution industrielle européenne, aucunes de ces richesses n’auraient pu être utilisées.
L’occident ne vous doit rien du tout bien au contraire.. remerciez-le de vous avoir apporté la lumière dans ce continent perpétuellement sujet à la violence et à un obscurantisme médiéval
Avant d’exiger la repentance des autres penchez-vous sur celle que vous devez exiger de vous-même. L’esclavagisme noir est de celle-ci.
Vous affirmez que Mme TAUBIRA n’a jamais cautionné la violence... Elle ne l’a apparemment jamais condamnée... Il apparaît évident que le fait d’avoir été indépendantiste (et donc contre « état colonial » français° est la preuve d’une dissension idéologique et politique suffisamment grave pour considérer qu’elle présente un danger pour l’institution, ne vous en déplaise.
Très judicieux article. Il y a toutefois eu un reportage sur la chaine Arte intitulé « les esclaves oubliés » qui retrace sans complaisance l’esclavage entre pays africains. Dans ce reportage, l’historien ( lui-même africain) précise qu’aujourd’hui encore les africains n’arrivent pas à reconnaitre qu’ils ont pu eux-mêmes être esclavagistes. Il y a un déni total de cette réalité historique ; pour eux, l’esclavage oppose les blancs aux noirs. Les africains ne peuvent qu’être victimes et en aucun cas bourreaux. Cette victimisation est savamment entretenue dans les antilles françaises et constamment relayée au niveau politique local. Il ne faut pas compter sur Taubira, ministre socialiste (à caractère indépendantiste), pour changer la donne. Vous avez raison de dire qu’il n’y a que peu d’intellectuels en France qui osent rétablir cette réalité historique. Le poli-bureau associatif « anti-raciste » veille au grain. C’est à chacun de se prendre en main et lutter contre cette censure. Pour ma part, je rappelle dès que j’en ai l’occasion qu’il y a eu un esclavagisme noir.
Je travaillais en Guadeloupe pendant les 44 jours dite de « grève » alors qu’il s’agissait en vérité d’émeutes anti-coloniales qui ont vite dérivées pour beaucoup de guadeloupéens en mouvement anti-blanc. Les médias de l’époque ainsi que les associations de l’époque ont occulté ce phénomène.. Très souvent, vous entendiez les phrases suivantes : « les blancs dehors » .. il n’était pas rare qu’on vous lance des objets divers (canettes de bières) ; certains jeunes en scooter essayaient de vous donner des coups de couteaux lorsque vous rouliez avec la fenêtre de votre voiture ouverte..Certains commerce réservaient la nourriture aux antillais, les bridages de « tontons macoutes » obligeaient les commerçants à fermer leurs commerce.. J’avais honte de la France car jamais sur le territoire nationale de tels faits n’auraient pu se produire sans être réprimés... Taubira avait apporté à l’époque son soutient au leader indépendantiste Elie DOMOTA. Ce dernier a fait l’objet de poursuites par le procureur de Pointe à Pitre pour incitation à la haine raciale..Mme TAUBIRA (même si elle indique en avoir parlé dans ses écrits) occulte autant que faire se peux l’esclavagisme inter africain (noirs esclavagistes) alors que cet esclavagisme a duré plus de 13 siècles et fait plus de 17 millions d’esclaves en Afrique (voir l’excellent reportage : « les esclaves oubliés »). Il ne faut pas oublier que la plupart des antillais entretiennent cette culture de la Victimisation pour justifier à la fois leur échec sociétal local et souvent leurs échecs personnels.. « ce n’est pas ma faute, c’est celle du sale colonisateur blanc et de l’état colonial français ». Cette réthorique est savamment entretenue localement par certains « intellectuels » guadeloupéens, par une culture axée essentiellement sur l’esclavagisme européen (donc venant des blancs). Elle est relayée en métropole par certains antillais : exemple : L.Thuram notamment qui là encore occulte l’esclavagisme africain. Il faut avoir à l’esprit que Mme Taubira n’échappe pas à cette règle et conserve en elle un fort ressentiment à l’encontre du « colonialisme blanc ». Elle n’est nullement à sa place au ministère de la Justice et représente à mes yeux une menace. La Guyane est le département le plus criminogène et elle serait bien inspirée d’y apporter une réponse.