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Alain Raphaël

Alain Raphaël

Docteur en droit de l’Université de Corse Pascal Paoli.
Assistant de justice auprès du parquet d’Ajaccio.
Auteur d’un sujet de thèse portant sur la responsabilité pénale des élus sous l’intitulé : "La pénalisation des fonctions électives et des hautes fonctions de l’Etat. Causes et répercussions."
Auteur de plusieurs articles dans différentes revues juridiques et différents journaux.
Membre d’Amnesty International

Tableau de bord

  • Premier article le 18/05/2007
  • Modérateur depuis le 28/06/2007
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Ses articles classés par : ordre chronologique










Derniers commentaires



  • Alain Raphaël Alain Raphaël 26 octobre 2008 23:01

    Je vous remercie pour votre commentaire. Si vous souhaitez plus de précisions sur cet article, sachez qu’il a été édité à la Revue pénitentiaire et de droit pénal n°3, juillet -septembre 2008 aux éditions cujas, p.531 à 538. Bien cordialement.



  • Alain Raphaël alain raphaël 22 octobre 2007 23:40

    « Le courageux a du courage et le brave aime à le montrer »(Joseph Joubert). L’intérêt que peut porter un magistrat sur la sortie d’un individu m’inspire énormément de respect que se soit pour l’individu considérablement dangereux comme pour l’individu cherchant à se réinsérer dans une société qui a jugé bon de l’écarter pendant un certain moment. Désormais la médiatisation pénale ne tourne plus autour du procès et seulement autour du procès, la sortie de délinquants ou de criminels devient un évènement médiatique lorsque ces derniers détiennent une notoriété d’envergure, laissant à penser que la libération devient un nouveau fond de commerce dans cette société de l’image, l’actualité tendant à nous le montrer de plus en plus. Toutefois, il me semble être important que des victimes puissent être averties de certaines libérations lorsque un risque peut se présenter à leur encontre, simple principe de précaution dans les cas les plus extrêmes. Quand aux petits pois dommage que l’on n’est pas envisagé à quelle sauce il semblent être plus ou moins appréciés. Merci Monsieur Bilger de nous faire poser ces différentes questions



  • Alain Raphaël alain raphaël 20 octobre 2007 22:40

    Merci pour cette participation. Est-ce que la reconnaissance peut s’interpréter comme l’eternelle quête de l’homme, peut être, toutefois il me semble intolérable de chercher cette reconnaissance dans la souffrance de l’être ou dans l’action violente, même si l’agissement peut s’interpréter comme libéral, car la liberté n’a rien a gagner sans morale ou sans humanité. A bientôt sur Agoravox.



  • Alain Raphaël alain raphaël 12 octobre 2007 19:29

    Le journalisme peut être certes définit comme la diffusion d’informations nécessaires au besoin de tout individu par un organe particulier, mais le journalisme citoyen (petit pléonasme) n’a pas à subir « l’éloquence » de certains professionnels asservis à des grands groupes faisant parfois dans la désinformation et dans la pensée unique, laissont la citoyenneté parler au nom de la démocratie et véhiculer ce qui est intéressant aux yeux de chacun. Merci pour l’article et n’hésitons pas à « chercher la vérité et la dire » comme le dit Jaurès.



  • Alain Raphaël alain raphaël 12 octobre 2007 15:12

    La loi « Guigou » du 15 juin 2000 renforçant la protection de la présomption d’innocence et les droits des victimes (titre II) et la loi « Perben » de septembre 2002 dans ses dispositions relatives à l’aide aux victimes (titre VIII) n’ont pas apporté toutes les conditions politiques susceptibles d’organiser la véritable place détenue par la victime dans le procès pénal. La mise en oeuvre de ces nouvelles mesures par le garde des Sceaux correspond à une volonté politique de renforçer véritablement le droit des victimes élevant cette dernière au centre du procès pénal, distançant un peu le véritable intérêt de l’action répressive qui est avant tout la résolution du désordre social commis. On peut voir la chose sous deux angles différents : Celui où la victime doit être l’enjeu essentiel du procès pénal et dans ce cas de nombreuses choses méritent d’être améliorées , car vous savez que les victimes n’ont pas toujours toutes les cartes en main pour pouvoir réagir efficacement. Celui où elle n’apparaît que comme un élément accessoire, et dans ce cas la priorité de l’intérêt revient à la personne en instance d’être jugée. C’est de cette complexité propre au système juridique francais greffant la partie civile au sein du procès pénal et l’amalgamant à un procureur « bis » pouvant s’immiscer à accompagner une demande punitive que s’est instaurée une confusion, et ce au gré d’une certaine pénalisation. On peut toutefois considérer que la mise en place d’un magistrat « assistant » n’empêchera pas à l’avocat de jouer son rôle de conseil, au contraire je pense que les victimes mieux informées susciteront le besoin de leurs services voyant l’intérêt qu’il leur sera porté. Face à cette « victimocratie », pour reprendre le mot du nouvel obs, je trouve navrant que l’on n’accorde pas plus d’importance à la présomption d’innocence(sur l’effet de la pénalisation j’ai consacré un article sur ce site, il suffit de cliquer sur mon nom ou ma photo. merci)

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