Il y aura toujours un fossé entre vous et nous. Vous êtes ces
personnes qui nous aurez expliqué il y a 200 ans de cela, mon bon monsieur les
Noirs n’ont pas de droits, les mettre en esclavage est légitime voir même
humain. Ensuite, mais non la femme ne peut être égale de l’homme, voyez-vous
elle n’a pas d’âme la malheureuse. Accorder des droits à l’enfant bien sûr que
non, les seuls droits que peut avoir un enfant sont les droits accordés par son
père.
Il y a une certitude c’est que ce fossé ne sera jamais
comblé, entre vous et nous il y n’a pas d’entre deux.
L’abolition de l’exploitation des animaux un jour verra le
jour tout comme leurs droits fondamentaux. Un jour à n’en pas douter nous
apprendrons dans les livres d’histoire ce que nous avons fait subir à des
milliards d’animaux, des êtres sensibles. Et vous pouvez en être assuré cette
exploitation ne fera pas la fiérté de cette triste humanité.
Si vous certifiez qu’un animal n’a nullement conscience de sa
mort alors je vous crois sur parole.Non
mais où allez-vous chercher tout cela ? Pourquoi l’animal a peur ? Pourquoi
n’est-il pas tout joyeux de se faire exécuter ? Expliquez- moi donc pourquoi
les vaches pleurent quand on les sépare de leur petit ? Un peu plus et vous
allez nous dire (comme Descartes) l’animal est une machine comme une autre. Vous faites dans votre texte un bon
rapprochement entre Descartes et le créationnisme mélange chaotique et sans queue
ni tête.
Il n’existe d’entre-deux que pour votre bonne conscience.
Quant à dire que le végétarisme estdangereux je suis végétarien depuis l’âge de 15 ans, je le suis resté 5
ans et ensuite je suis devenu vegan (donc pas de lait pas de fromage etc.)
suis-je mourant ? Cela fait au totale une décennie que je ne consomme plus de
viande.
De ne pas se soucier de la vie et de la mort de celui qui
nous l’offre d’abord, vous nous dites que l’animal n’a pas conscience de
lui-même puis vous nous dites qu’il nous offre sa vie ?D’où avez-vous vu qu’il
offre sa vie, il l’offre ou nous la prenons ? L’animal n’a pas conscience de ce
qui est bon pour lui ou mauvais ? Donc il ne fait pas de distinction entre une
personne qui va le battre et un autre qui le caressera ? A ces discours de religion
qui soutiennent que l’animal n’a été créé que pour servir les intérêts des
hommes.
Il y aura toujours un fossé entre vous et nous. Vous êtes ces
personnes qui nous aurez expliqué il y a 200 ans de cela, mon bon monsieur les
Noirs n’ont pas de droits, les mettre en esclavage est légitime voir même
humain. Ensuite, mais non la femme ne peut être égale de l’homme, voyez-vous
elle n’a pas d’âme la malheureuse. Accorder des droits à l’enfant bien sûr que
non, les seuls droits que peut avoir un enfant sont les droits accordés par son
père.
Il y a une certitude c’est que ce fossé ne sera jamais
comblé, entre vous et nous il y n’a pas d’entre deux.
L’abolition de l’exploitation des animaux un jour verra le
jour tout comme leurs droits fondamentaux. Un jour à n’en pas douter nous
apprendrons dans les livres d’histoire ce que nous avons fait subir à des
milliards d’animaux, des êtres sensibles. Et vous pouvez en être assuré cette
exploitation ne fera pas la fiérté de cette triste humanité.
Si vous certifiez qu’un animal n’a nullement conscience de sa
mort alors je vous crois sur parole.Non
mais où allez-vous chercher tout cela ? Pourquoi l’animal a peur ? Pourquoi
n’est-il pas tout joyeux de se faire exécuter ? Expliquez- moi donc pourquoi
les vaches pleurent quand on les sépare de leur petit ? Un peu plus et vous
allez nous dire (comme Descartes) l’animal est une machine comme une autre. Vous faites dans votre texte un bon
rapprochement entre Descartes et le créationnisme mélange chaotique et sans queue
ni tête.
Il n’existe d’entre-deux que pour votre bonne conscience.
Quant à dire que le végétarisme estdangereux je suis végétarien depuis l’âge de 15 ans, je le suis resté 5
ans et ensuite je suis devenu vegan (donc pas de lait pas de fromage etc.)
suis-je mourant ? Cela fait au totale une décennie que je ne consomme plus de
viande.
De ne pas se soucier de la vie et de la mort de celui qui
nous l’offre d’abord, vous nous dites que l’animal n’a pas conscience de
lui-même puis vous nous dites qu’il nous offre sa vie ?D’où avez-vous vu qu’il
offre sa vie, il l’offre ou nous la prenons ? L’animal n’a pas conscience de ce
qui est bon pour lui ou mauvais ? Donc il ne fait pas de distinction entre une
personne qui va le battre et un autre qui le caressera ? A ces discours de religion
qui soutiennent que l’animal n’a été créé que pour servir les intérêts des
hommes.