@guylain chevrier, moi je vous invite à aller lire toutes mes recherches depuis 2001, dont le reportage « jamais sans ma mère » sur France 2 en 2007 et la suite en 2012 ou l’inspecteur de l’Igas déclare que 50% des placements pourraient êtres évités, ainsi que de lire l’avis de la CNCDH sur le même sujet, avant d’insulter les autres de menteur. Vos affirmations mettent en danger des milliers d’enfants, les vrais victimes sont ses 80000 enfants placés inutilement, sur des calomnies de l’ASE.
@alautis dit : Sans parler des économies, car cela est de 150 à 200 euros, le coût d’une journée par enfant en Maisons d’enfants à caractère social, contre 50 - 70 euros, le coût d’une journée par enfant, suivi à domicile. Cela coute au contribuable 8 milliards € dépensés par an pour financer l’aide sociale à l’enfance, soit 6000 euros par mois et par enfant. Il faut stopper cet hémorragie inutile et dangereuse.
Effectivement la situation est tout autre et bien pire que dans ce reportage, contrairement à ce que j’ai pu lire. Les placements d’enfants sont systématiques et concernes des milliers d’enfants. En France 160 000 enfants sont placés par l’ASE sur divers raisons et beaucoup infondés, l’IGAS a reconnu que plus de la moitié des placements pourraient être évités, ainsi que la CNCDH qui a alerté nos dirigeants à plusieurs reprises depuis des années, la cour des comptes a dénoncé aussi des pratiques moyenâgeuses, et les dérives financières, tout ses constats démontrent que ce système met en danger l’équilibre et la santé des enfants placés inutilement . Des collectifs et associations de parents dénoncent tous les abus de l’ASE et annexe, comme le fil d’ariane france, le CEDIF, SOS Parents Abusés, ATDquart monde, PAE placements abusifs d’enfants, AFPSSU, AVPE et de nombreux blogs et pages facebook de parents. Il est temps de se réveiller, cela peut arriver à n’importe qui, oui même à vous, car toutes les catégories sociales sont concernés, même les plus aisés.
Comme le dit la CEDH à de multiples reprises, le but d’un placement est bien « d’unir à nouveau le parent et l’enfant ». Dès lors, sauf bien sur dans des cas très précis, la durée du placement doit être la PLUS COURTE POSSIBLE et tout doit être mis en œuvre pour maintenir les liens familiaux et faciliter le retour de l’enfant au sein de sa famille.