La je crois qu’on délire un peu. Reconnaissons simplement le même droit a l’homme qu’a la femme en matière de violence conjugale (je ne parle pas du droit de l’agresseur) . Arrêtons de spécialiser les études, l’aide, la loi et son application pour ne considérer qu’un seul sexe, Ce sera tout pour moi.
Masuyer vous avez relevé de bonnes idées mais quand vous dites : "Mais il me semble que « l’homme battu » ici évoqué, a un rôle
idéologique. Celui de minimiser les violences faites aux femmes. En
gros, il y a des « hommes battus » donc cessons de nous préoccuper des
« femmes battues ».« je crains que nous n’ayons pas lu le même article et je crains que la manipulation soit plutôt de votre côté. A aucun moment je ne vois de tentative de minimiser la réalité des violences contre les femmes, juste la volonté de dire qu’il n’y a pas que des violences contre les femmes. Par contre cette volonté de nier une certaine violence, on la voit très clairement dans certains propose »féministes" un peu plus haut qui vous rabâchent des statistiques a sens unique pour minimiser et occulter systématiquement la violence contre les hommes.
C’est vrai que pour être politiquement correct toute évocation de la violence contre les hommes doit obligatoirement commencer par un long discours reconnaissant l’ignominie de la violence contre les femmes. Je n’ai plus envie d’être politiquement correct après être passé au rouleau compresseur de la violence d’une femme bien relayé par la justice familiale. J’affirme qu’il faut lutter contre la violence conjugale, le reste est une gueguerre stupide.
Je cite : « Imaginez un jeune champion de boxe légère qui se fait frapper par sa compagne. Racontez ça et pas mal de gens rigolent jusqu’au moment où vous poserez cette question : Et s’il avait répondu, vous croyez qu’elle serait dans quel état la femme ? Souvent, les hommes battus ont peur de se défendre car ils craignent de blesser leur compagne. » je ne suis pas champion de boxe je mesure 1.87 je pèse 85 kg je suis sportif, ma femme pèse 45 kg...... elle m’a frappé pendant des mois souvent par surprise avec des objets divers, jets de pierres, jet de liquide brulant coups d’outils etc.... attaques pendant mon sommeil.... Évidemment si j’avais répliqué j’aurais pu l’assommer d’un coup. Je ne l’ai jamais fait. Je suis resté pour protéger notre enfant qu’elle frappait aussi. Aujourd’hui je suis parti et j’ai perdu mon logement et je ne vois notre enfant qu’épisodiquement. Je trouve particulièrement lamentable l’attitude de ceux qui dissertent sur le sujet sans rien en connaître et encore pire celle des féministes extrémistes qui veulent que l’on n’évoque pas ce sujet au nom de la sacro sainte victimisation exclusive de la femme. D’ailleurs j’ai lu a maintes reprises l’argument qui tue : l’homme victime, parfois tué, est le plus souvent un agresseur que la femme a frappé en état de légitime défense. Me femme ayant régulièrement porté plainte contre moi, elle entre donc statistiquement dans cette catégorie même si je ne l’ai jamais frappée et qu’elle a fini par le reconnaître lors de l’enquête de police . Je laisse chacun a ses certitudes, j’ai presque tout perdu face a une femme déchainée que j’aimais et que j’essayais de combler. Pour en avoir discuté autour de moi, je ne suis pas le seul en France, et tous ont éprouvé les plus extrèmes difficultés a en parler et a se faire aider.