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Alditas

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 Bonjour !
 Je suis né le 19 Janvier 1946 au Douar d’EL-MAIN(Bibans) - Départ.de Constantine et me nomme : AMAROUCHE Larbi dit Ahmed Salah ben Belkacem dit Kassa ben Lakhdar et de Chékerker Hadjila bent Slimane.
 J’avais été inscrit simultanément à l’école coranique de la Mosquée du Vendredi et à celle publique en langue française, le 01 Octobre 1952 en classe de 1ère et passe à celle de 2ème en 1954. Mes études étaient suspendues aprés que le siège de cette école se transforme en poste militaire.
 Le 01 Octobre 1957 je reprends le chemin de l’école jusqu’à l’obtention de mon CEPE le 13 Avril 1961.
 Le 15 Novembre 1965 j’étais recruté comme Moniteur hors-cadre à cette même école jusqu’au 05 Juillet 1966 fête de la jeunesse en guise de symbole pour prendre les vacances.
 Le 04 Séptembre 1967, j’étais admis à suivre un stage de commis-comptables au CFPA de Médéa et le réussis pour en être affécté le 26 Février 1968 à la CAM Méradi Lakhdar de BBA. J’obtiens une mutation au domaine autonome Boudiaf Abdelhafid le mois de Mars 1971 que je quitte le 31 Décembre 1972 pour être affécté à la CACG de BBA le 02 Janvier 1973 jusqu’au 03 Avril 1977.
 Je m’inscris au CNEC de Lyon en 1975 et obtiens mon CAP d’Aide-Comptable le 20 Mai 1982.
 Recruté à la BNA et démissionne le 30 Avril 1982 pour être recruté à la Saa le 02 Mai 1982 comme Rédacteur jusqu’au 15 Séptembre 1985. Le 20 du même mois, je fus réintégré à la BNA jusqu’au 15 Décembre 1988 pour aller travailler ensuite chez des comptables privés que sont Méssieurs Haddad et Saci. A nouveau, je retourne à la BNA jusqu’à ma prise de retraite le 01 Mars 2006.

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Derniers commentaires



  • Alditas Alditas 16 mai 2007 23:23

    Bonjour !

    Ce qui manque énormément s’agissant de la Kabylie, notamment de l’Orientale, ce sont les photos de bergers avec leurs troupeaux comme moyen d’illustration des articles racontant la vie dans ces villages des anées 1930-1950.

    Les sits pieds noirs recensent tout sauf la vie dans les villages indigènes comme ils les appellent autrefois.

    Bonne ou mauvaise l’histoire doit être dite telle que les gens l’ont vécue. Le proverbe dit : « c’est avec la main noire que l’on gagne le pain blanc. » Aucune proféssion bien exercée n’est honteuse. Seule la bêtise et la fainéantise humaines peuvent être mauvaises. Le travail éloigne de nous, « trois grands maux : l’ennui, le vis et le besoin. »

    Un salut même si mon article ou papier ne sera pas ccépté par la rédaction pour publication.

    Alditas



  • Alditas Alditas 20 avril 2007 10:02

    Bonjour !

    Je ne pense pas et ni ne crois qu’il existe un autre procédé meilleur au monde autre que celui du suffranges universel par les urnes, lorsqu’il s’agit de trancher sur la question de la succéssion du pouvoir par l’alternance.

    Reste mainteant l’attache afféctive ou de renouvellement de serment à un succésseur après l’avoir déjà exprimé au prédécésseur, à chacun ses goûts et selon la conjoncture et le contexte du moment historique pendant lesquels tél ou telle prend position. A cela s’ajoutent bien sûr les manoeuvres, les influences et peut être même les préssions et les intimidations à base de propagande tendancieuse.

    L’autre vrai hic ou le revers de la médaille, n’est rien d’autre que le choix entre le candidat et un programme. Faudra-t-il choisir un candidat sans tenir compte de son programme, ou choisir le programme sans tenir compte du candidat ?

    Faudra-t-il choisir selon la version du psycho-afféctif ou celle d’une prise de conscience sur les jeux et enjeux avenir ? Nul ne détient la grande vérité. Seule l’union fait la force d’expréssion de la grande, qui en réalité, la vraie grande parmi les autres, est celle que détient Dieu et sa Providence qui domine toutes les Puissances. Que dire des improvisations, du système des quotas ?



  • Alditas Alditas 18 mars 2007 19:24

    Bonjour !

    //-) l’occasion de vos premières rencontres du 5 ème pouvoir ( poux voir), il me vient à mon esprit cette pensée de vous adrésser mes plus vives félicitations et vous assure de ma fidélité sans faille, car votre sit et blog agoravox me plaisent énormément, pourvu que ça dure en cette vie si dure.

    Je me suis parallélement inscrit à la rue des auteurs et à mon génie blog, en plus de yahoo 360° car la seule chose qui nous reste entre les mains c’est : écrire, quoique cette action de créer, l’on ne sait que si c’est de la bénédiction ou de la malédiction eu égard aux aléas de cette mondialisation incompréhensive politiquement parlant lorsqu’il s’agit de traiter de questions sensibles comme le droit, la police, le militantisme partisan, les rendements de comptes gratuits, les coups bas, les magouilles, les fautes, les érreurs, les ommissions, les propagandes tendancieuses, les censures, les déformations des informations, les contradictions, les préssions, les intimidations, les répréssions, les blocages, l’inculture sachant car nul ne peut savoir tout pour se munir et se prémunir, les violences, les insolences, le comment faire pour nous assurer des prudences, des méfiances, des défiances, des confiances, déjouer les complots sur fond d’intrigues malintentionnées, les oppréssions, les humiliations, les harcélements moraux et matériels, nous instruire, nous former sans nous déformer, nous adapter aux nouvelles situations liées à la conjoncture et son contexte du moment où se déroule un évènement heureux ou malheureux, comment lire et comprendre, chasser et prendre légalement, mener la barque à bon port sans que l’on soit noyé par les innombrables maux marins, étc, étc, étc...Donc, se rencontrer par l’écrit et lancer nos cris pour dénoncer ce qui ne va pas universellement reconnu comme tél et encourager ce qui va dans le bon sens, car un journaliste digne de ce nom doit absolument être à la fois un auxiliaire de justice et un désillusionneur tout en essayant au maximum de rester neutre et crédible. Facile à dire, à écrire mais trés difficile à faire.

    Qui croit s’enrichir en écrivant, doit savoir au contraire d’assumer le risque de vivre pauvre et méprisé comme le dit si bien Monsieur Paul Désalmand auteur du livre : guide de l’écrivain paru aux Editions Marabout.

    L. AS. AMAROUCHE (Alditas)


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