Pour répondre à ta question, il s’agit d’estimations personnelles.
Suivant ce lien, tu trouveras une version revue et corrigée de l’article. Ça fait un moment que j’avais cette version sur mon pc mais je ne l’ai publiée qu’hier (suite à ton message). Dans cette dernière version je précise et corrige un certain nombre de points. J’y précise, par exemple, en fin d’article, que certains chiffres sont d’estimations personnelles.
Relisez-donc mon article, je n’y parle à aucun moment de l’intensité des émotions mais uniquement de leur nature. Evidemment que je ne suis pas aussi triste face à des pâtes sur le carrelage de la cuisine que face à proche défunt, mais la nature de l’émotion, que vous le vouliez ou non, reste la même ; c’est de la tristesse.
Peut-être n’avez-vous jamais été confronté à un accident de cuisine...
Merci. J’aime aussi beaucoup cette phrase (que je découvre).
C’est vrai qu’avant de dire à quelqu’un qu’il est dans l’erreur il faut d’abord lui démontrer qu’il l’a été déjà été dans le passé et le lui faire reconnaître. Sans cela c’est très difficile de lui faire accepter son éventuelle erreur du présent. Il faut d’abord lui faire accepter l’éventualité d’une erreur. C’est ainsi qu’il acceptera de prendre du recul, de s’armer d’objectivité et de se remettre en question.
Et pourquoi pas ? Pourquoi ça serait « limite » de comparer un deuil à une casserole de coquillettes ?
Vous pouvez ne pas être d’accord avec le fond de mon article mais je trouve très intéressant et très instructif de comparer des choses que l’on a pas l’habitude de comparer ou pour lesquels, par éthique ou par respect, on se refuse à le faire.