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Alexis Dayon

Alexis Dayon

24 ans, Toulouse.
Enseignant en philosophie.

Tableau de bord

  • Premier article le 11/05/2011
  • Modérateur depuis le 08/10/2011
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Derniers commentaires



  • Alexis Dayon Alexis Dayon 11 mars 2012 10:08

    L’article est une des meilleures tribunes que j’ai lu sur ce site ! smiley

    @Yvance77>> Tellement d’accord avec vous. Il y a plus que quelque chose de Jaurès en cet homme, il y a quelque chose de Victor Hugo, qu’il aime tant à citer. Voyez, le seul point sur lequel je me sente en désaccord avec M. Mélenchon, c’est son désir de retour à une république parlementaire dépersonnalisée que je trouve politiquement inefficace ; c’est peut-être du quitte ou double, mais je dis : quand on a un personnage de sa trempe, on personnalise !

    Si des Montebourg ou Chevènement, comme vous les citez, mais aussi Bové, Royal, Hamon, Lienemann, Emmanuelli... le rejoignaient, ce serait le retour puissant de la gauche française historique. Même si pour ma part, je reste conscient que l’important dans une vie démocratique, c’est bien moins le coup d’éclat politique que la dissémination des idées. Je préfère à terme une large prise de conscience antilibérale qui viendrait redéfinir en profondeur les lignes politiques y compris du centre (et même de la droite ?) qu’un flamboiement de phoenix à gauche qui, trop clivé peut-être, et sans doute vite rattrapé par le poids des conservatismes, s’éteindrait presque aussi vite qu’il se serait rallumé.



  • Alexis Dayon Alexis Dayon 19 février 2012 19:47

    Maman ! Comment tu fais pour débusquer systématiquement tout ce que j’écris ?? :p

    Mais je ne veux pas aller sur ce terrain là, je ne veux pas railler le parcours de magistrate d’Eva Joly, parce que c’est un parcours admirable de lutte face aux pires difficultés et aux pires menaces du monde du pouvoir et de l’argent. Je lui reproche un comportement en tant que politicienne, je ne veux pas me moquer d’elle personnellement.



  • Alexis Dayon Alexis Dayon 14 février 2012 12:37

    Pour ce qui est de la BCE, cela ressort de la volonté politique. L’essentiel de la dette qui s’amoncelle est fait d’intérêts, pas des prêts eux-mêmes. Le grand problème est que la seule vocation de la BCE aujourd’hui soit de s’arc-bouter sur sa lutte contre l’inflation. Nous ne pouvons plus compter sur la création de richesse, lestée par la hauteur de la monnaie et son maintien forcené, pour résorber logiquement la valeur des dettes précédemment souscrites, alors le seul moyen est de tailler, pour le public dans ses dépenses, pour le privé dans le salariat. C’est un logique morbide et terrifiante, mais ce n’est pas un état de fait économique figé devant l’éternel, c’est une décision politique de préservation des rentes qui nous mène là !



  • Alexis Dayon Alexis Dayon 14 février 2012 12:31

    @kitamissa>> Vous connaissez à l’évidence le domaine bien mieux que moi, il est donc inutile que je m’aventure plus avant sur le BTP. Mais il n’est aucun problème qui n’ait pas ses solutions. Tous les mondes sont des « mondes à part » pour ceux qui les fréquentent activement. Cela ne veut pas dire que toute vocation publique et politique en soit exclue. Précisément, une réforme politique lorsqu’elle est bien menée, l’est en s’appuyant sur l’expérience de terrain de ceux qui la possèdent ; le politique est là pour fixer l’objectif.



  • Alexis Dayon Alexis Dayon 14 février 2012 11:24

    Mais de rien.

    Quand le gros animal (pour reprendre un terme platonicien - et je parle là du parti, pas de Mme Joly) devient un poids si contre-productif qu’il en vient à ridiculiser publiquement des idées cruciales pour l’avenir, mieux vaut qu’il meure.

    Je n’aime pas ce type de « règlements de compte », mais je m’y livre une bonne fois pour toutes, pour n’avoir plus à y revenir. Les piques récurrentes depuis des mois et jusqu’aux représentants les plus importants des écologistes, d’anti-hulot gorgés de bonheur méchant, tels des gamins sadiques s’acharnant à sauter à pieds joints sur le vaincu, commençaient à m’insupporter grandement. Elles continueront, mais au moins j’en aurai dit ce que je pensais. Politiquement, ils se tuent tout seuls à se comporter comme cela.

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