Il faut faire confiance aux scientifiques qui ne sont pas manipulés par des intérêts politico-militaro-industriels. Il ne faut donc pas faire confiance aux scientifiques émargeant au GIEC, officine éminemment politique.
Les arguments ridiculisant définitivement les réchauffistes sont innombrables. Inutile de les reprendre ici.
Et j’allais oublier le pire... qui est dans le titre de ce torchon.
Parler de transition démocratique pour désigner un COUP D’ÉTAT, même en le mettant en regard de l’épouvantail « Président à vie », il fallait quand même oser...
Se présenter à une élection pour la troisième fois, même si le texte constitutionnel ne le prévoit pas, c’est se soumettre à la sanction du vote. En matière politique, la licéité est-elle plus importante que la légitimité ?
Dire d’un président en exercice qu’il a « attisé le feu qui a faillit le consumer » après un putsch raté, c’est objectivement travailler à légitimer le coup d’état... Cette attitude est-elle celle d’un démocrate ?
Parler de « représailles contre les mutins partisans » du putschiste après un coup d’état raté, c’est faire bien peu de cas de l’état de droit (qui prohibe fermement toute tentative de coup d’état faut-il donc le rappeler) sans lequel il n’y a pas de démocratie... Qui prétend être démocrate ?
Y-a-t-il une quelconque proportionnalité entre une troisième candidature non constitutionnelle et un coup d’état violent, sanglant, criminel et parfaitement abject ?
Non, un coup d’état n’est pas une « légitime manifestation populaire » ! Cette rhétorique nauséabonde peine à convaincre les véritables démocrates.
Hé ! Cet article pue jusqu’au ciel. Niveau zéro de la conscience politique. Berk