Un français de souche comme président ça nous changerait. Lui au moin il a la France dans les tripes. C’est pas comme Sarky Nagy Bocsa rétorquant un jour à De Villiers « toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi tout cela me laisse froid. Je ne m’inreresse qu’à l’avenir » et au sien bien sur. Alors la France...
Et le 12 octobre 2006, à Périgueux, devant 4000 personnes, Nicolas Sarky s’est écrié : « La France ne veut pas de ceux qui ne l’aiment pas. »