S’il est établi que le GSPC algérien devenu AQMI à partir de 2006 agit au Sahel, rien ne permet de penser que le GICM et le GICT y sont présents. Le Sahel leur est géographiquement inaccessible. Par contre ces deux mouvements terroristes restent dangereux pour le Maroc, la Tunisie et l’Europe, particulièrement la Belgique et l’Espagne.
S’il l’on se fie au peu d’informations auxquelles les media ont accès, l’ex GSPC est le pivot et le « patron » du terrorisme sahélien.