En bas là-bas, on a tous un ancêtre en commun,
comme un pont de bois pour quitter l’art fric.
A deux c’est mieux qu’adieu, dites l’heure tiens.
Avec un gros zano dans son zoreille, c’est plus chic.
N’ayez crainte, j’y ai laissé la montre, j’ai chaussé les besicles et je marche avec des palmes, c’est vous dire. Je renonce à mesurer la circonférence du lac, mais vous n’imaginez peut-être pas la profondeur des eaux. Je ne cherche pas plus à en prendre la mesure soyez-en sur. Monsieur Nabum, les souvenirs sont coffrés, lestés et enfouis, gardés par un animal marin dont la description ne me saurait être ni souhaitable ni désirée, tenez le vous pour dit.
Il me semble qu’ayant appris à nous connaitre, la compréhension linguistique est affinée. Cependant je voudrais une requête émettre, (pas de roquette ni de salade) quand à l’appréciation et la nécessité de ma présence, même africanisée ?
Au sujet des légendes poétiques, il s’agit de choses bien légères vous le remarquerez, ce fut une première mise en plastique, mais l’hommage mon cher est presque achevé. J’ose espérez que le non-doute est de réciprocité.
Je reviens du fond d’un étang comme vous le savez, il m’a fallu apprendre une nouvelle nage entre le crawl et la brasse en apnée. Certains cahiers y furent troqués contre une simple page, je m’en vois pour le moins satisfait et allégé.
Je me doute bien. J’ai un sérieux respect pour votre profession et d’autant plus pour votre position, délicate. Vous me semblez pour le moins remonté en ce jeudi. Qu’en est-il de votre centenaire ?