Quand on est tout contre, on ne voit rien comme celui qui a la poutre tout contre lui.( Sacha Guitry avait fait mieux, je sais ). Le « tout contre » n’est-ce pas le fanatisme ? N’avons nous pas appris à au moins utiliser la dialectique ? Allons au fait : Nicolas Sarkosi n’a t il pas au moins quelques qualités ? A force de dire que tout va pas chez lui, on oublie ce qui va.
Ramenez cela à votre travail. Si toute la journée vos supérieurs ou vos clients vous disent que tout ce que vous entreprenez est mauvais, que vous êtes à côté de la plaque et que vous devriez vous défendre de vos moindre mouvements, pensez-vous que vous seriez performant ?
le seriez vous dans une ambiance amicale ? Seriez vous alors enclin à mieux faire ?
je préférerais lire un article qui prend un point positif et qui l’encourage que cette surenchère de critiques. Un discours, critique soit, mais qui entraînerait à mieux faire comme on traiterait un ami pour le faire progresser.
Nous avons notre Président pour 4 ans. Moi, sans être à droite ou à gauche, j’espère qu’il donnera ce qu’il a de meilleur pour le bien de tous et que nous avons un poids et un rôle à jouer pour qu’il le puisse.Tout ce qu’il l’affaiblit « pour rien » nous affaiblit aussi et J’ai la faiblesse de croire que cette intention peut être comprise et partagée.
Cher Monsieur l’auteur,
Comme d’autres l’ont déjà dit:QUELLES SONT LES SOLUTIONS POUR MOI, le lambda, qui vous lit ?
Quelles sont les solutions pour mes enfants ?
Il n’y a plus de sciences économiques au sens stricte. Un science par définition prédit les phénomènes qui s’enchaînent. L’économie qui consiste à produire des biens ou des services , à les vendre et à les consommer, resterait une science si l’honnêté de l’homme n’était pas une variable.
Par cette CRISE ECONOMIQUE , nous assistons à une crise créée par l’humain et ses vices. Le remède est de prendre conscience que la seule porte de sortie est de faire en sorte que les hommes vivent à travers des valeurs morales fortes qui demandent à être enseignées.
Le voleur va créer autour de lui le cancer social. Ce n’est pas parceque j’ ai perdu 1000 euros quand je me suis fait voler un scoot que ma vie s’écroule. Elle s’écroule parceque je ne peux plus faire confiance. Je suis perturbé par mon prochain, cet inconnu.
Or dans les hautes sphères il y a des voleurs comme il y en a dans la rue, sauf qu’eux ils sont en col blanc. Ils forment des clics de corrompus. ET nous, nous sommes les victimes de leur vol. Pas victime d’un système politique. pas victime de la mondialisation, pas victime des inégalités, des riches, ou autres explications : NOUS SOMMES VICTIMES DE VOL : un seul remède ARRETER LES VRAIS VOLEURS.
Qui sont ils : ceux qui ne produisent pas et qui vivent sur le dos des autres exclusivement, à petite échelle ou à grande échelle.
Il ne faut pas culpabiliser celui qui loue deux appartements pour arrondir sa retraite. Ce n’est pas de cela dont il s’agit.
A titre personnel j’en reviens au « traite ton prochain comme toi-même » et à titre collectif je demande à ceux qui nous gouvernent d’arrêter les voleurs à tous les niveaux. Ce sont eux qui créaient les perturbations et les dangers. Ce sont eux qui créaient des rumeurs en tous genres pour se dissimuler. Ce sont eux qui demain déclencheront d’autres guerres en actionnant les leviers de leur influence.
Les gouvernants, en premier lieu, ne sont ils pas élus pour protéger les honnêtes gens ?
Et ne nous y trompons pas : ces grands voleurs ont des complices à droite comme à gauche et partout dans le monde.
Les marchés financiers, comme ils viennent de le démontrer, sont désormais déconnectés du monde réel tel un organe isolé atteint d’un cancer. Le monde économique est bien sur affaibli par son organe malade mais ce n’est pas le propos. Le vrai sujet est simple à comprendre si pour cela l’on se met à la place de ces « commerçants d’argent ». Que veut un mauvais commerçant ? de gros bénéfices sans tenir compte de l’intérêt des clients.
Que fait-il pour cela quand il est banquier ? Il en prête le plus possible avec le plus de marge possible.
Un commerçant avec 100 euros de fond de roulement va certainement faire tourner un stock de 1000 euros mais le banquier d’affaires, lui, avide de gains, fait tourner 10 000 euros !!!! ça ne peut pas tenir !!! Il a dépassé les bornes. Personne n’a calculé le ratio, la fuite a toujours été en avant et bingo, cette fois ci ça ne passe plus. C’est la maladie. Elle n’est pas incurable mais le monde politique ne devra pas faire l’erreur de la guérir sans condamner ces dérives.
note : ne pas confondre les banquiers dont je parle avec votre directeur d’agence. Je parle des prédateurs internationaux qui s’ingèrent au coeur de l’économie pour la contrôler, en tirer partie et dominer le monde.