Vous avez, cher Ami, un talent qui me dérange : celui de faire rejaillir le passé en pleine face, comme ça, avec des mots simples et des faits banals. Je viens de prendre un grand coup de nostalgie, à chaud, sans préparation. Mon Gévéor à moi, c’était le Gravillons de chez Damoy. Il n’était pas loin de votre picrate (tiens, l’anagramme de mon prénom...) puisque moi, j’allais le chercher rue de Bondy près la gare des Coquetiers. On a peut-être hanté les mêmes lieux , voire les mêmes bancs de joyeux cancres . Merci pour cette tranche de vie oubliée et ces mots d’un temps révolu. Salut l’Ami !