Antoine Ancelet

Je suis né à Vélizy-Villacoublay en 1980. Dans les Yvelines donc, à côté d’une autoroute, pas bien loin de Vélizy 2 et d’un aérodrome militaire autrefois plus célèbre, quand il servait de base aux avions présidentiels du GLAM.
Fin 1988, nous avons déménagé sur Lyon, que je n’ai pas quitté depuis. J’ai de plus en plus aimé cette ville qui, concomitamment, a beaucoup changé. Un temps saccagée par un maire pas fait pour sa ville, Louis Pradel, Lyon est redevenue une métropole européenne et pour cela il a fallu 4 maires. J’explique comme ça l’histoire lyonnaise récente et on en discute quand vous voulez.
Après une formation à l’Institut d’Etudes Politiques de Lyon après laquelle j’ambitionnais de faire une école de journalisme, je suis directement devenu pigiste pour le journal local Le Progrès, sans passer par cette case, ce qui m’a évité 2 ans d’études hyper chères pour le même résultat (clin d’oeil confraternel à ceux qui ont quand même tenté leur chance).
Comme je n’avais pas l’intention de vivre dans une précarité qui allait mal avec le fait que, ça s’est trouvé comme ça, je me suis marié et ai eu un petit garçon, mon nouveau créneau, c’est désormais l’action publique locale.
Titulaire du concours d’Attaché territorial, je cherche actuellement du travail dans une collectivité, plutôt action sociale, culture ou communication.