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antoineb

Salut, je suis né en 1978 et je suis travailleur social depuis quelques années.

Tableau de bord

  • Premier article le 07/06/2008
  • Modérateur depuis le 25/07/2008
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Derniers commentaires



  • antoineb 26 juillet 2008 13:06

     Je n’ai jamais dit que le rmi (que je soutiens) est un instrument de flexibilité, j’ai juste rappellé les débats de l’éqpoque ! ll s’agit de ne point caricaturer les dires des autres (internet est si facile pour celà). Cependant la flexibilité est une idéologie qui engendre des conséquences pires que ce qu’elle prétend résoudre. Le marasme économique actuel en est des meilleurs témoins et la mollesse des "pourfendeurs de pensées uniques" (qui est la véritable pensée unique, nsp Jean François Kahn ?!) sclérose les débats, les idées...



  • antoineb 26 juillet 2008 09:28

     D’autant plus que l’une des premières règles de l’économie est que celle- ci n’est pas un gateau que l’on se partage ! l’économie est un réseau en expansion dont chacun peut tiré profit.
    2è règle, on ne gère pas un etat comme un bon père de famille, c’est absurde !



  • antoineb 26 juillet 2008 09:25

     Max Brucman, tu es encore un des rares à croire dans la loi du marché. Si tu penses encore, et ça fait 30 ans que l’économie mondiale nous le prouve, que les salires se fixent selon la loi de l’offre et de la demande, tu te trompes. le bon vieux Fordisme a du plomb dans l’aile !
    Et les nombreuses délocalisations d’entreprise bénéficiaires nous le montrent. Ou alors tu as raison mais cette loi ne peut que nous ’tirer" vers le bas selon une éternelle régression puisque la planète a des niveaux de développements différents, l’entreprise trouveront tjrs des salariés plus précaires enclin à accepter salaires et conditions de travail plus précaires (aujourd’hui l’europe de l’est et demain l’amérique du sud, l’afrique... ?).
    Comme beaucoup de théories économique le prouvent, le marché et la concurrence peuvent faire créer de la croissance...mais la concurrence peut être "négative" (cf le dilemne du prisonnier) ou le dumping social.
    De plus, plus de croissance n’a pas forcement été bénéfique pour les populations et les taux de pauvreté des USA et de la GB le montrent. Ou alors une grosse croissance permet aux riches de s’enrichir et aux pauvres de profiter des miettes que l’on (car je m’inclus dans les riches) leurs donnent.

    les profits du CAC 40 ne sont pas un fantasme... Il ne s’agit pas de parler de moral ("jalousie") mais plutôt de faire appliquer la loi. Ne trouves- tu pas révoltant qu’il existe des paradis fiscaux ? On cache de l’argent !Et l’on pleure que l’on a pas les moyens ! Alors ça n’est pas une "sanction" mais plutôt un devoir que les entreprises du CAC 40 "participent". Si tu es d’accord, milite pour une réorganisation des niches fiscales et une levée du secret bancaires (estimé à 50 milliards d’euros en France). 
    Enfin quid de la croissance ? Dans quel but ? Celui d’éradiquer toute vie sur terre ? 

    Il me semnle que le libéralisme reproduit le schéma du régime soviétique des années 70 "ça ne marche pas ? c’est qu’on est pas aller assez loin ! Plus de libéralisme !". Aucun exemple ne nous montre que l’ultralibéralisme diminue la pauvreté, aucun  exemple ne montre qu’avec des entreprises compétitives, on abaisse la pauvreté. Seulement dans des pays en  voie de développement (la france il n’y a pas si  longtemps que ça), où effectivement la croissance permet un enrichissement mutuel de la population.
    cependant le capitalisme doit être "dépassé", au vue de ces limites (inégalités, pollution, violence...). 



  • antoineb 25 juillet 2008 15:05

    J’enfile ma 2è casquette en pronant la mise en place d’un Revenu d’existence (pas si éloigné du RSA, à vrai dire). Un revenu d’existence proportionnel aux besoins, cumulable avec de revenu et qui engloberait toutes les allocations versés par l’Etat qui pourrait avoir un certain controle sur celles- ci.
    Autour du SMIC, elle ne représenterait pas un coût excessif pour l’Etat (comme l’on démontré Yoland Bresson, Paul Ariès ou Utopia) et permettrait aux gens de "’Choisir" et de ne plus "Subir", le choix est moteur de dynamique, l’histoire et la philosophie franaçaise nous ont appris que la soumission est un frein (à moyen terme).



  • antoineb 25 juillet 2008 15:01

    Je pense, tout d’abord, que l’Etat doit redevenir un acteur de la vie économique en redéployant ses effectifs au lieu de les diminuer. Nous savons qu’il manque des infirmiers, des éducateurs, des personnes travaillant dans le handicap (j’y ai travaillé aussi), y’a du boulot).
    Il faut donner des emplois stables et gratifiant à chacun, comme celà nous réussirons à vaincre la délinquance et la fraude. D’autre part, réinvestir le champs de la formation professionnel afin que les gens puissent rebondir après un échec (et non, sombrer comme on l’a vu).
    Beaucoup de gens en précarité n’ont pas de papiers d’identités : une régularisation massive ( 200 milles, c’est peu par rapport au 500 000 espagnols et au 400000 italiens il y a 5 ans !), accompagné par un souci au niveau de l’inspection du travail permettrait de faire baisser le travail au noir et de remplir les caisses de l’Etat ! Une régularisation massive n’entraine pas d’"Appel d’air" comme on l’a vu en 1998 (100 000 régularisations puis un niveau stable de demande de Carte de Séjour...).
    Une redéfinition des Petites Entreprises avec un genre de Small Businees Act adapté à la française (marché public pour les PME, Contrats aidés, assouplissements des 35h...).

    Et surtout, faire appliquer la loi en matière de contrat de travail : 35h, CDI, car c’est la règle.



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