Bon sang, mais vous habitez sur une autre planète. Allez travailler dans une maison de retraite et vous verrez les coulisses, elles ne sont pas jolies jolies. Beaucoup de dirigeants de maison de retraite se font du fric sur le dos des vieux. La première peur du soignant est d’arriver dans ces établissements plus tard ; ca veut dire quoi ? Qu’on y attend la mort et rien de plus.
Il faut aussi arrêter de s’acharner à faire vivre les vieux comme des zombis en les gavant ou pire en leur posant des sondes. Le français se sent éternel et c’est une grave erreur.
Le trou de la Sécu, quelle rigolade ou presque ; il faudrait déjà faire un sacré ménage dans le milieu hospitalier mais chacun s’accroche à son siège et dépense sans compter les deniers de l’état car ils se sont pas gestionnaires pour deux ronds et fonctionnent comme cela depuis trop d’années. Exemple : quand va t-on contrôler dans les services les sorties de médicaments car le personnel approvisionne sa pharmacie sur le compte de l’hosto. Et puis tous ces petits chirurgiens qui déploient autant de champs opératoires que pour une opération à coeur ouvert ; règles d’hygiène ? Il faudrait déjà que les infirmières et aides soignantes se lavent les mains en sortant des toilettes, ça irait déjà mieux.
Pour certains individus, l’être humain n’aucune valeur, du bérail ou des unités, apparemment on doit être de trop puisque même les fonds de pension spéculent sur les matières premières, alors vous vous attendiez à quoi, à ce qu’ils aient des états d’âme il y a 60 ans, regardez si les leçons ont servi.....
Là aussi je risque d’en faire bondir plus d’un mais si vous regardez ceux qui dirigent le monde aujourd’hui, vous aurez tout compris, les plus grandes banques et les plus grands trusts appartiennent aux juifs, les Rothchild en premier ; n’avez-vous jamais entendu parler des illuminati, des bidelberger et tous ceux qui dirigent le monde dans l’ombre en nous considérant pas mieux que du bétail.
Il faut savoir laisser les morts là où ils sont et ne pas les manipuler dans un but qui me paraît bien loin du souvenir que l’on veut nous faire croire.