moi Armelle, je prends le parie. peut être pas une révolution, mais une insurrection, une révolte citoyenne, une grève des impôts...juste de quoi démonter le système en place.
Le jour ou les gens se rendront compte que les flics passent plus de temps a verbaliser les innocents qu’a rechercher les délinquants, le jour ou les DAB ne donneront plus d’argent, le jour ou les injustices seront supérieures au sentiments de justice sociale, le jour ou les chômeurs descendront dans la rue, le jour ou les artisans du bâtiment, les transporteurs, les prof libérales, le jour ou tout simplement les citoyens comprendront que les énarques sont tellement différents de nous qu’ils ne peuvent comprendre le quotidien de chacun de nous...ce jour là, une vague humaine descendra dans les rues. Il y aura des échauffourées, des blessés, et peut être des victimes.
Il faudra dissoudre le parlement, et peut être que le MOIJE président sera contraint de poser la question de confiance, comme le Général en 69. Il faudra alors que MOIJE président accepte la vérité du NOUSTOUS contre toi...moi, j’en rêve tous les jours et chaque jour, je deviens plus révolutionnaire que simple manifestant.
on peux faire toute les présentations que l’on veut et tous les calculs avec toutes les méthodes comptables disponibles, quand une entreprise présente un bilan positif mais qu’elle n’a pas de trésorerie, elle est en souffrance, tout simplement parce les résultats du bilan ne sont pas représentatifs de sa trésorerie. Pour payer ses charges et ses employés, quand une entreprise manque de trésorerie, elle demande une ligne de découvert autorisé ou elle emprunte pour son fond de roulement. Si chaque année le même processus doit se répeter, elle devra donc dans ses emprunts, augmenter la charge de ses interets a rembourser.
c’est ce qui se passe en France.
Quand l’état n’a plus de trésorerie au 1° septembre pour payer ses fonctionnaires, elle emprunte, et cela fait 40 ans que ca se passe comme cela. si elle devait rembourser ce qu’elle doit, la France serait donc dans l’incapacité d’honorer ses engagements, et donc mise en cessation de paiement, donc en faillite !!!
Nos énarques et théoriciens de tous bords devraient un jour se rendre compte que tous les calculs et probalité de réussite menés depuis 40 ans sont voués à l’echec. Et leur dernière tentative de prendre les Français pour des cons risque fort de connaître le même sort...et très rapidement. Leur reviendra alors en mémoire le vieux dicton : rien ne sert de courir, il faut partir à point...