Pour écrire un billet, chacun sait qu’Allusion part d’un
sujet d’actualité ou d’échanges avec ses rares contacts.
Pour lui, quelqu’un qui ne lit pas est un c… et reste inculte.
Lui, il est capable de lire des briques de 800 pages !
L’échange qui a donné l’idée à Allusion de rédiger ce billet
« le Yin et le Yang » est ce mail qu’il a reçu de son interlocuteur lambda.
Comme d’habitude, sans demander l’autorisation, Allusion tronque l’échange, reprend
des extraits qu’il retire du contexte, y ajoute même des questions et ses
propres réponses, des réflexions hors contexte, et publie des données personnelles
sur son interlocuteur lambda, etc. Le « dialogue » initial se
transforme en « monologue ».
« Allusion,
Mais oui, tu as toujours raison. La lecture permet de
s’extraire de la réalité (surtout quand elle est dure, cruelle, sans avenir … )
et plonger (se noyer même) dans la virtualité (apparemment sans danger, rose
bonbon, aventureuse à souhait, sans risque sauf d’aliénation, …). Elle permet
de rêver et parfois appréhender d’autres réalités. D’autres boivent, se
shootent, prennent des risques insensés (ah l’adrénaline), pratiquent des
sports extrêmes, jouent en bourse, … pour connaître le même effet euphorisant.
… Je viens de lire un thriller … « Le Trésor de
Kahn » de Clive CUSSLER et Dirk CUSSLER (600 pages pour 7,50 EUR).
Thriller basé sur des faits historiques … A la fois passionnant et
bof ! Quand j’ai un peu de temps, j’ai lu aussi un sujet d’actualité ou un
biopic d’une « personnalité » souvent controversée (- puisque ça fait
le buzz -). (voir annexes).
Non, moi, je ne vois pas l’intérêt et le plaisir de
lire 800 pages d’aventures imaginaires quand la vie quotidienne et réelle
est une aventure passionnante. Moi, je vis la réalité, je n’ai pas besoin de la
lire.
Chacun ses lectures, ses choix, ses vacances, son travail,
son addiction, son passe-temps, ses soucis (de santé et autres) et autres
(lecture, bonne chère), sa vie quoi.
Bonne journée.
Pour moi, le seul livre qui vaille la peine de lire, car
d’une vérité universelle, même Einstein en lisait quelques pages
chaque jour. Je n’ai jamais compté le nombre de pages … Voir annexe … ».
La dernière note de ce mail devient dans la publication
d’Allusion :
« Pour moi, le seul livre qui vaille la peine de lire, car
d’une vérité universelle, les évangiles ».
Allusion publie la photo qu’il a reçue en annexe (de son
interlocuteur pour utilisation personnelle). Il ne vérifie même pas si elle n’est
pas soumise à un copyright. De suite, connaissant son interlocuteur lambda, il
en déduit « les évangiles ». Dans la note, il supprime ce qui le
dérange et ajoute « Je ne suis pas évangéliste ».
Cette phrase, les lecteurs cultivés l’auront compris, parle
de la Bible, pas seulement des évangiles.
Sans être évangéliste (avec ce sens péjoratif que lui donne ce
mécréant d’Allusion dans ses billets), un linguiste, un historien un
archéologue, un cinéaste, … peuvent être amenés à lire la Bible dans le cadre
de leurs recherches, pour leur travail, …
je vous invite à répondre à cette simple question :
s’il est possible d’imaginer n’importe quel univers à partir de la réalité (donc, la causalité comme support) est il possible de faire de même en partant de l’imaginaire pur ? (donc, sans le principe de causalité).
L’amour, ça commence par une rencontre ... comme le chantent le poète Louis Aragon et le chanteur Jean Ferrat :
Que serais-je sans toi qui Vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu’un Cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au Cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J’ai tout appris de toi Sur les choses humaines Et j’ai vu désormais le monde à ta façon J’ai tout appris de toi comme On boit aux fontaines comme on lit dans le Ciel les étoiles lointaines Comme au passant qui chante On reprend sa chanson J’ai tout appris de toi Jusqu’au sens du frisson
Que serais-je sans toi qui Vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu’un Cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au Cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement
J’ai tout appris de toi pour Ce qui me concerne Qu’il fait jour à midi qu’un Ciel peut être bleu que le bonheur n’est pas Un quinquet de taverne Tu m’as pris par la main Dans cet enfer moderne Où l’homme ne sait plus ce Que c’est qu’être deux Tu m’as pris par la main Comme un amant heureux
Que serais-je sans toi qui Vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu’un Cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au Cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement
Qui parle de bonheur a Souvent les yeux tristes N’est-ce pas un sanglot de la déconvenue Une corde brisée aux doigts du guitariste Et pourtant je vous dis que le bonheur existe Ailleurs que dans le rêve ailleurs Que dans les nues Terre terre voici ses rades inconnues
Que serais-je sans toi qui Vins à ma rencontre Que serais-je sans toi qu’un Cœur au bois dormant Que cette heure arrêtée au Cadran de la montre Que serais-je sans toi que ce balbutiement