Salaires, minimas minimes, travail à 1 euro -> précarisation, misère croissante
Allemagne à su rester compétitive, mais à quel prix pour les ouvriers, les précaires, le petit peuple ?
Demandez leur, à eux, la majorité, et non aux grands patrons et politiques, s’il apprécient leur mode de vie, s’ils sont en pleine forme, sereins, heureux...
Une simple remarque, qui me semble digne d’intérêt :
Vous dites : "Le poids de la dette est va devenir insupportable
et les conditions avantageuses auxquelles nous empruntons encore (...) Cette économie dispendieuse démarra sous la Droite avec Giscard...«
Ce qu’il y a eu avec Giscard, est la fameuse »loi Giscard-Pompidou du 3 janvier 1973« , loi étonnante (pour le moins...) interdisant l’état Français à s’autofinancer à partir de sa propre banque à taux 0, comme il l’avait fait jusque là, pour l’obliger désormais à emprunter aux banques privées, moyennant intérêt... Pourquoi ???
Avant 1973, point de dette, et après cette date, montée fulgurante de cette dette ( de 80 milliards en 1978, à 1600 milliards en 2011).
Le remboursement des seuls intérêts de la dette est le 2e poste des dépenses de l’état !
Et, quand on sait que l’argent prêté par les banque est créé »à partir de rien" (ce ne sont pas des vrais billets durement gagnés qui sont donnés, mais des chiffres ajoutés au compte, qui ne prennent leur valeur que de la reconnaissance de dette), on peut même se demander si rembourser de l’argent prêté par quelqu’un qui ne l’avait pas, n’a pas déboursé 1 centime, et à qui il a fallu emprunter pour des raisons inexpliquées (j’aimerai bien connaître la justification de cette loi, et ne me dites pas : lutter contre l’inflation... la dette me semble plus grave), bref, si rembourser cet argent là se justifie.
Encore une bonne idée : j’ai toujours adoré les films de science-fiction dans lesquels on ne voyait plus le soleil...
Un grand bond en avant pour l’humanité et l’équilibre de la planète, que de tenter de contrebalancer les effets néfastes de nôtre activité en balançant des saloperies dans l’atmosphère.