Franchement, Morice, question ridicule de l’avatar, vous réjouissez pas mal de monde depuis un temps ! Désormais je vous suggère le sympathique petit personnage créé par Gotlib ; vous en avez le côté tenace et l’altitude correspondante. Ça préviendrait.
Vous ne travaillez pas à la Stasi auparavant ? Cette manie de ficher tout un chacun et paranoïser à tout va me donne bien des inquiétudes pour votre bout de chou obtenu sur le tard.
Vous consultez, ou bien vous contentez vous de cette « thérapie du clavier » ?
Merci Morice, encore un super article bien fouillé. Dans l’actualité, j’ai entendu parler de l’Uturuncu en Bolivie qui semblerait être dans une phase d’inflation inquiétante. Comme il serait sur la liste des « supervolcans », il y aurait aussi de quoi s’inquiéter !
« Au nom des intérêts supérieurs de la Démocratie, cet ordure a été éliminée comme elle le méritait »
Cette sentence grotesque est à se faire dessus, si ce n’était pas aussi dramatique...
« (d’ailleurs Khadafi ne méritait plus le nom d’homme) » :
Pour quelqu’un qui comme lui a tenu tête à l’impérialisme occidental pendant quarante ans et qui a tant fait pour le continent africain, et son pays en particulier ; il faut être ignoble ou sombrement crétin pour lui dénier son statut d’humain.
Taverne, allez troller vos âneries ailleurs, ce sujet n’autorise pas vos crachats.
On me demanderait dans la rue de citer une proposition de Sélolène Royal, je n’aurais en mémoire que cette proposition aux écoliers de chanter la marseillaise debout à côté du pupitre...
Franchement, bien sur que la discrimination au faciès est odieuse, mais puisque l’on est en démocrature et qu’il suffit de faire les rayons pour choisir la tête qui va vous représenter, et que l’aspect du produit compte plus que le contenu dans notre société à gouvernance de type marketing, eh bien, une telle tête à claques, pour moi ça reste dans les rayons.
La posture de cette dame dont on vit naguère le petit palace secondaire d’un goût des plus parvenus affiché dans nos journaux, instruit bien plus que toutes ses péroraisons.
Le politique doit être avant tout un philosophe, pas un marchand de promesse.
Pour qu’il me représente, l’élu doit faire d’avantage : je dois connaître ses codes moraux, sa vision collective et la rigueur qu’il donne à ses actes au regard de ses paroles.
Or, là, pour moi, il n’y a que de l’arrivisme forcené et une vision étriquée et frigide des aspirations de notre société