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Appelez ca l’instinct, ou la synthèse de mes lectures, tout ceci a fini par allumer certains voyants à l’orange puis au rouge.  Par déformation professionnelle, mon attention s’est focalisée sur divers sujets relatifs au traitement de l’information et par extension, aux médias, et... malheureusement au pouvoir, s’effarant des concomittances existantes et futures. Sans tomber dans la paranoia idiote, l’air du temps... ne sent vraiment pas bon.
Dorénavant assez vieux et concerné pour me bouger citoyennement parlant : pour mes gosses, et mon entourage. Beware ;) ?


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  • ash ash 11 septembre 2008 10:22

    Je suis très partagé par cet article : comment peut-on affirmer que la télé/l’émission a *poussé* à l’acte ?

    De ce que je lis de vos exemples, nous avons dans un cas :
     - une personne qui s’est *inspirée* d’une série pour *maquiller* un crime : la télé ne me semble être qu’une source d’informations, au même titre qu’un polar ou l’internet. Et dans une telle situation de stress (commettre un meurtre !), l’esprit humain aurait tendance à avaler n’importe quoi.
     - dans l’autre, des personnes qui utilisent des masques/costumes issues de la ’franchise’ à succès du moment - ces costumes étaient alors disponibles dans tous les supermarchés - on pourra certes reprocher le merchandising à outrance, mais quand à inciter au passage à l’acte... Mh, il y a un grand pas.

    A titre personnel, ayant affronté toute cette ’violence télévisuelle’ depuis tout petit, je m’estime au pire ’surinformé’ quand à la facon de perpétrer des exactions, mais en aucun cas plus incliné à ’pratiquer’ : entre l’image d’une violence, ma perception du réel/irréel, mon analyse, et les conséquences de son application dans la réalité : autant de barrières qui m’empêchent l’amalgame, même si elle peut susciter l’émotion.

    Je ne nie pas l’accident : des ’personnes faibles’ qui livrées à elles-même franchissent les barrières, fautes d’éducation ou de capacités d’analyse. Mais c’est aussi le cas avec toutes autres choses potentiellement dangereuses : armes en vente libres, pratique du sport de combat ou de la conduite d’automobiles.

    Nous devons ériger certaines limites, mais dans les cas que vous évoquez, il me semble impossible d’affirmer que la télévision est la principale responsable. Ou au même titre qu’un constructeur de voitures lorsqu’un gars ivre, se fout en l’air au petit matin.

    Pour faire vite, j’estime qu’il vaut mieux s’en prendre globalement au foutoir (temporaire ou pas) qu’est l’esprit de certains, une sorte de ’perpétuelle remise dans le contexte général’, plutot que de s’attaquer à toutes les sources potentielles d’exactions : elles sont trop nombreuses pour que l’on en oublie aucune... Et je ne vois pas mon rôle de tuteur dans l’interdiction massive...






  • ash ash 9 septembre 2008 11:18

    Bizarrement, si on analyse l’exemple de Persépolis, la qualité, le nombre de téléchargement, et de ventes, semblent bien en corrélation : de là à penser que le bouche à oreille a fonctionné grace au téléchargement, et que la qualité inhérente du film a plus fait que le marketing de base (j’ai aimé ce que j’ai vu, alors j’achète ou j’offre)...

    C’est peut-être bien ce qui emmerderait le plus certains intervenants de l’industrie, que nous redevenions finalement maîtres de nos choix d’achat ou de visionnages, et que nous disposions de l’oeuvre sans forcément repayer à tous les étages, sur chaque exemplaire, de chaque supports : entre nos impôts, les taxes afférentes à la copie privé, la redevance, la place de ciné ou le prix de la location, chaque DVD acheté du même film, chaque version portable, etc. Haaaaaaaa.

    Je veux bien subventionner la culture (celle qui me parle, pas celle qu’on cherche à m’imposer) mais je veux aussi y avoir accès dans des limites raisonnables de tarifications, qui ne prendrait en compte que le simple coût ’technique’.



  • ash ash 4 septembre 2008 13:56

    L’"égalitarisme" lisse l’effet des malhonnêtetés de chacun : dans un monde ’bon’ (apuré par son libéralisme ? ;), les comportements méritoires seraient tous récompensés à leur *juste* valeur, et nous n’aurions pas cette discussion. Pratiquement, force est de constater que ces comportements sont souvent soumis à bien des doutes : la redistribution est alors un garde-fou interessant à la barbarie (sens sale).

    Les critères ’méritoires’ vaudraient bien toute une discussion à eux-seuls :)



  • ash ash 4 septembre 2008 10:21

    J’ai plussé Lerma. Suis-je mauvais ?
    (Merci Lerma de faire montre de sens critique : l’idolatrie nous tue. A ce titre, j’ai du m’accrocher pour passer les premières lignes de l’auteur, (la forme, ou ma lecture, sont-elles seules en cause ?) le reste est relativement informatifs : il est si rare de trouver des écrits heu... droitiers, pour la balance...)



  • ash ash 2 septembre 2008 14:04

    Diantre que vous et votre raisonnement sonnez justes. Le pire, c’est l’extrapolation : imaginons que les autres décisions ’industrielles’ prises et à venir soient du même acabit (paquet telecom, la téléphonie, suez...).
    Gardez-moi une place dans vos toilettes.

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