Constations, vues de la Belgique : on a droit à "deux chaînes musicales", MCM et Mtv. Je vous assure qu’elles n’ont rien de plus musicales que m6, tfi, et rtl et tralala... Plutôt à longueurs de journées des "jpimp’ ta caisse" ou "tu m’échanges contre 67dollars ?". Ca vole haut... A partir de 1h du mat’ on risque de tomber sur du son intéressant...
Effectivement et heureusement, les habillages sonores de documentaires sont souvent de qualité, je le remarque surtout sur France2 par exemple, comme sur notre équivalent en Belgique (service public) La une. Comme cette capsule quotidienne sur le code de la route (j’ai perdu le nom..) habillée par Aphex twin.
Dans les pubs et jingles d’ailleurs, le style jungle et drum’n’bass sont très souvent employés. Styles que l’on ne peut définir de populaire et qui se revendiquent d’ailleurs comme underground... Peut-être la drum, , convient parfaitement à la publicité sur nos petits écrans, paradoxalement, nappes sonores posées et beats dynamiques à la fois, un peu pour tout les gouts quoi..
Et si Romain n’avait pas tenté de faire réflechir sur la violence, mais juste la plaquer sur le regard du spectateur, et stresser ce dernier, le temps qu’ il arrive à fixer le regard sur ce parfait court ?
Je ne comprend pas tout le foin alentours de ce clip. On parle de Romain Gavras, présent chez Kourtajmé (faut-il balancer des liens o combien plus crapuleux du style dérangeant de la bande ?), de Justice, qui part en buzz (depuis quand maintenant ?), d’un titre qui s’appelle stress.
Perso, si l’idée du clip était d’illuster le titre en question, ce qui est souvent l’idée d’un clip, je vois la une turie, un petit court super réussi à l’esthétique dérangeante, vraiment très (trop pour d’autres, visiblement) dérangeante.
Drôle de personnage, que personnellement je n’appréciais pas. Ni ses chances aux chansons, ni ses apparitions sur les plateaux télés. Souvent désagréable, Pascal Sevran savait néanmoins me faire éclater de rire.
Cet homme possédait un sens de l’ironie certain. Voire "d’ironie qui a mal tourné " : du cynisme. Je n’ai jamais lu un de ces bouquins, je crois me rappeller qu’il en a tapé quelques. Se vendront-ils plus post-mortem ? Probablement. Comme d’habitude.
Interdire Mein Kampf est pour moi un acte proche du négationisme ou autre obscurantisme.
Tout le problème est dans l’explication de texte. La lecture seule de Mein Kampf n’est pas à mettre entre toutes les mains. Il s’agirait "d’accompagner le lecteur" si le besoin en est.
C’est une problématique de bibliothécaire, ce livre. Doit-on le ranger dans une bibliothèque ? Dans quel but le lecteur emprunte ce livre ? Quelles seront ses conclusions ?
Diffuser, ne pas interdire. Mais diffuser et expliquer