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Aspiral

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Paysan de la nature humaine depuis près de 30 ans, je milite depuis des années contre la présence des « psy » ailleurs que dans leurs cabinets de consultation.
Sans trop de succès, d’ailleurs !

Tableau de bord

  • Premier article le 04/01/2007
  • Modérateur depuis le 12/02/2008
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Derniers commentaires



  • Aspiral Aspiral 14 avril 2008 13:31

    Je partage votre effroi, même si notre analyse et nos solutions divergent. Si je jury populaire est plus que nécessaire pour désencrouter la justice de ses rigidités, il n’est quand même pas juste d’appeler bien ce qui est mal. Le pervers précède la loi, dit-on. Quand ceux qui font la loi la transgressent eux-mêmes, qui va les juger ? Gandhi qui proposait la transgression de la loi comme homme politique, refusait de payer les cautions. Pour le reste, j’ai déjà fait mon commentaire sur l’autre article sur le même sujet.



  • Aspiral Aspiral 14 avril 2008 13:20

    Effectivement, le comité de rédaction, comme tous les comités de rédaction a fait son choix. Et c’est son droit d’avoir "une politique éditoriale", celle de ne pas publier ce qui le dérange et publier ce qui l’arrange. Celui qui le veut peut créer son propre site journalistique pour défendre une autre "politique" éditoriale.

    Ceci dit, la question qui se pose est justement celle de la "justice", qui a été pensée par les anciens, pourtant tous cathos en diable, sur d’autres bases que celles d’aujourd’hui. Quel est le rôle social de la justice ? Quelle différence faire entre justice humaine et justice divine ? J’ai proposé un article le 10 avril qui est toujours en attente, ni accepté ni refusé, sur ce sujet justement au comité de rédaction d’Agoravox, et je suis sûr que si B. Dugué avait voté pour, il serait déjà passé.

    Mais venons-en au sujet : la peine de mort est bien sûr rétablie par le délire collectif qui règne actuellement sur l’amour, cette affreuse complicité que la démocratie décadente a instauré avec tous les faiseurs de pognons qui ont fait de la loi un terrain de jeu. La loi a un esprit qui devrait être pratiqué par les juges. Mais le formalisme parapluie qui règne actuellement, aussi bien en justice qu’en médecine, les rend tous complices des centaines de milliers de morts par épuisement, morts parce qu’ils ont dû, eux, assumer à leur place le prix des conséquences de leur bonne consience professionnelle.

    On est loin du temps où l’on pendait tout voleur, même d’une tranche de jambon, car on savait que ce cette première publique était la suite de beaucoup d’occasions ratées de se réformer, privées. Quand donc mettrons-nous les médecins et les juges devant les conséquences de leur inconséquence ?



  • Aspiral Aspiral 12 avril 2008 09:51

    Si je suis d’accord avec votre diagnostic, je ne suis pas aussi "optimiste" que vous. L’élection de votre président démontre que plus de la moitié des français n’est plus capable de faire la distinction entre un adolescent "attachiant" et quelqu’un qui a la maturité de fonctionner comme un "visionnaire". C’est la pensée collective qui est malade. L’entièreté de mon site est consacré à l’étude de cette pensée malade et propose un traitement, remettre des structures d’espace et de temps dans la pensée, réduite au symbolique. Mon problème est celui d’avoir à expliquer au fou (la civilisation) qui me lit avec sa maladieet qu’il ne peut changer de manière de penser que lorsqu’il en aura lui-même éprouvé la vanité et les dégâts. Notre monde régit par le mythe scientifique et le complexe de Colomb qui en résulte est en train de se psychopathiser. Le concept de "sujet" se dissocie insensibement dans un cumul d’objets partiels qui nous transforme tous en rouages. La seule révolution possible est celle d’un refus générlisé de "collaborer" avec les faiseurs de pognon emballés par les discours des ex-pères à leur solde. J’ai écrit un article appelé "deuxième bataille" sur mon site, en attente d’un feu vert ou rouge sur Agoravox, qui illustre à travers les affaires médiatisées comment notre civilisation toute entière se perd dans sa manière de penser et de panser ses problèmes.



  • Aspiral Aspiral 11 avril 2008 11:00

    Comme chaque fois un article bien documenté qui donne à penser.

    La France est une bien trop petite partie du monde pour croire qu’elle puisse tirer son épingle du jeu éonomique mondial où les structures d’espace et de temps se sont perdues, laissant tout le pouvoir aux spéculateurs et au séducteurs. Assimiler l’Etat qui vit dans le présent continu et ne doit pas faire de bénéfice à une entreprise le conduit à payer le confort des électeurs présents sur le compte de leurs enfants trop futurs pour inquiéter les élus. Ceci est vrai dans tous les secteurs de la vie publique, mondialement. Il est temps de cesser d’espérer que cette vague de "pédophilie" intellectuelle résolve la problématique de l’accroissement des mécontents, qui, à un moment, devenus trop nombreux, prendront le pouvoir, comme d’habitude, en se fichant éperdument des éculubrations des ex-pères en siences inhumaines.

    A ce propos, j’ attends toujours de pied ferme vos considérations sur le "sacré" dont on pourrait se passer en le "dépassant".



  • Aspiral Aspiral 8 avril 2008 19:30

    eh oui ! C’est le principal, jusqu’au moment où on commence à coûter au contribuable !

     

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