C’est
pas tous les jours qu’on a d’aussi bonnes nouvelles : un
collabobo qui se fait casser son crâne vide par une de ses
chances-pour-la-france adorées ! C’est tellement moral, c’est
tellement mérité. C’est beau, tout simplement. Pour une fois,
justice a été faite.
« Ainsi
donc, si par la plus obscure des providences, un régime raciste
venait à s’installer en France et qu’il chassait toutes les
personnes d’origine étrangères, parents, enfants et conjoints
autochtones, la France perdrait instantanément un
sixième de sa richesse annuelle. »
Oui,
mais non.
D’abord
il faut poser la bonne question : quels immigrés posent
problème ? Sont-ce les Islandais ? Les Guatémaltèques ?
Les Japonais ? Les Javanais ? Les Italiens peut-être ?
À moins que ce soient les Grecs ? Non bien sûr, ce sont les
islamo-africains.
Alors
c’est au PIB créé par cette population qu’il est pertinent de
s’intéresser. Si des 15% de PIB (à vérifier, ces comptes
d’apothicaire sont peu probants) on retranche la part produite par
les immigrés non islamo-africains, en particulier européens et
asiatiques, m’est avis qu’il n’en restera plus grand-chose.
Disons 10% et c’est très très très bien payé.
D’autre
part, il faut connaître la proportion de la population
islamo-africaine. Selon mes comptes d’apothicaire, largement plus
fiables que les manipulations de l’INSEE, elle atteint au bas mot
25%.
Ce
qui fait donc 10% de PIB en moins, et 25% d’habitants en moins,
et donne évidemment une augmentation sensible du PIB par habitant,
autrement dit une augmentation immédiate du niveau de vie pour les
Français libérés des colons.
De
plus, notre pays se débarrasserait par la même occasion des
individus les moins qualifiés, les plus délinquants, et surtout les
plus destructeurs pour notre civilisation.
Hélas,
peut-on encore seulement rêver de ce jour de gloire ?
200
d’un coup cette fois ! Ça nous fait dans les 15 tonnes de
matière première à monétiser. C’est Soros et ses complices qui
vont être contents. Y a pas, c’est du bon boulot. La petite
entreprise négrière de Cédric ne connaît pas la crise. C’est
réconfortant de voir ces Français qui réussissent.