"le secret le mieux gardé inavouable et difficilement vérifiable même
quand le scandale éclate et arrive aux oreilles du juge, reste marqué du
sceau du silence, que la société y préfère garder, de la honte et du
tabou« Essayez de lire cet excellent article de Samir Rekik. D’abord on ne dit pas »la viole« (c’est un instrument de musique) et ensuite en »occident« , on s’est battu pour le droit à la parole. Et ça, c’est le travail des »bobo 68ard". Ce qui ne veut pas dire qu’on est forcément entendus, mais les viols et incestes sont dénoncés soit en justice où malheureusement la moitié sont classés sans suite faute de preuves, soit par presse ou radio ou édition de témoignages. Ce qui n’est pas le cas, dans des sociétés où l’espace démocratique est muselé.