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  • azziz 22 septembre 2010 23:55

    ah désolé suis obligé de réagir puisqu’il vous faut mettre en cause l’aficion


    L’aficionado c’est ... quelqu’un qui fuit la véritable tragédie humaine, qui l’évite et la nie au lieu de l’affronter dans toute sa complexité, dans toute sa vraie grandeur affective, intellectuelle, métaphysique, morale...[ ]... Il projette de la manière la plus simpliste qui soit, ses propres malheurs inconscients, son « refoulé » person nel et social, sur un Autre, le COUPABLE (ici un animal) dont la mort le libère, mythiquement, de son identité honteuse. (*)

    Voilà selon le CRAC et la FLAC
    nous sommes des assassins, criminels et consorts,
    il ne vous reste plus qu’à brûler les livres comme vos amis tristement connus
    Mais cela n’empêchera en rien notre amour de la course espagnole
    et n’entamera pas non plus notre aficion

    Vous vous prétendez d’une ère joviale et apaisée ?
    vous ne répétez que le fascisme de vos pensées,
    seule votre mépris de l’autre est répétée dans vos slogans,
    la négation de l’autre, de ses différences, et de ses attaches culturelles.

    Soit vous vous complaisez à penser que nous devrions tous nous ressembler,
    Pour quel idéal ? ; le votre ?
    Devons nous nous plier à vos dogmes pour que nous conversions ?
    Je ne pense pas

    Cela vous arrange de trouver un terrain de combat juste pour exister
    Et finalement vous donner une raison d’être.

    Et bien les aficionados ont leur raison d’être, qu’ils soient toristas ou toreristas...Mais (je le sais) la Fiesta Brava vivra



  • azziz 22 septembre 2010 23:50

    ah désolé suis obligé de réagir puisqu’il vous faut mettre en cause l’aficion


    L’aficionado c’est ... quelqu’un qui fuit la véritable tragédie humaine, qui l’évite et la nie au lieu de l’affronter dans toute sa complexité, dans toute sa vraie grandeur affective, intellectuelle, métaphysique, morale...[ ]... Il projette de la manière la plus simpliste qui soit, ses propres malheurs inconscients, son « refoulé » person nel et social, sur un Autre, le COUPABLE (ici un animal) dont la mort le libère, mythiquement, de son identité honteuse. (*)

    Voilà selon le CRAC et la FLAC
    nous sommes des assassins, criminels et consorts,
    il ne vous reste plus qu’à brûler les livres comme vos amis tristement connus
    Mais cela n’empêchera en rien notre amour de la course espagnole
    et n’entamera pas non plus notre aficion

    Vous vous prétendez d’une ère joviale et apaisée ?
    vous ne répétez que le fascisme de vos pensées,
    seule votre mépris de l’autre est répétée dans vos slogans,
    la négation de l’autre, de ses différences, et de ses attaches culturelles.

    Soit vous vous complaisez à penser que nous devrions tous nous ressembler,
    Pour quel idéal ? ; le votre ?
    Devons nous nous plier à vos dogmes pour que nous conversions ?
    Je ne pense pas

    Cela vous arrange de trouver un terrain de combat juste pour exister
    Et finalement vous donner une raison d’être.

    Et bien les aficionados ont leur raison d’être, qu’ils soient toristas ou toreristas...Mais (je le sais) la Fiesta Brava vivra

    (*) La corrida, cette fausse tragédie - Henri CALLAT Professeur de philosophie



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