C’est tout de même hallucinant cet article et les réactions qui l’accompagnent ! Les gens ont-ils perdu le sens commun ? En ce qui me concerne j’adore la viande de bœuf et pour rien au monde on ne m’y fera renoncer ; la vraie viande d’un vrai bœuf abattu pour l’occasion. Quand on vient de la campagne, il y a de quoi se tordre de rire sur un article pareil ! L’important c’est le goût, le naturel, la viande vivante. Que le reste du monde n’ait pas les moyens, tant pis ou tant mieux : ils ont leurs habitudes alimentaires, leurs produits, leurs recettes et pas besoin de bœuf, mais moi, oui !
Je signale que le Nouvel Observateur n’est pas totalement
coupable, et qu’à mon sens, ce sont Laurent Joffrin et certains de ses affidés
au sein de la rédaction qui ont plongé le magazine dans ce scandale. La plupart
des journalistes du nouvel Observateur sont dégoûtés par ces pratiques et n’adhèrent
absolument pas à cette conception d’un journalisme de caniveau, ni à la
justification qu’en a donné Laurent Joffrin dans le monde du 23 février « D’un côté on se plaint que la presse
va mal, de l’autre, on crie au scandale quand un hebdomadaire veut augmenter
ses ventes ». C’est un désaccord sur le fond et les lignes de fracture
sont profondes : cela aura des conséquences à court terme au sein du
Nouvel Observateur. D’autre part, Le Nouvel Observateur n’est pas le seul à
devoir être mis en cause, et à Libération, les journalistes sont confrontés aux
mêmes dérives de la part de Nicolas Demorand et de ses lieutenants. Si ces
personnages quittaient Le Nouvel Observateur et Libération, on pourrait
commencer à reconstruire un peu de crédibilitéà la presse dans notre pays, mais comme une dizaine de personnes tiennent l’ensemble des journaux, ça va être dur !!!!!