@Jojo bonsoir Vous faite une erreur d’interprétation,le pseudonyme avec lequel je me connecte actuellement suite à une exclusion appartenait à un ami qui me l’a refilé voilà tout,vous me taxez d’hypocrite,un musulman ne juge pas ses contemporains quand bien même il n’a aucune affinité avec eux,vous m’avez fait savoir de ne pas vous interpeler c’est ce que j’ai fais avant votre intervention,libre à vous de me croire ou pas,je n’ai pas besoin de me cacher sous plusieurs identités,je ne suis plus un enfant .
@Snoopy C’est aussi au nom de la repentance que Aussaresses ton camarade de gégène à livré ses quelques souvenirs d’un demi siècle de coups tordu de la république. Aussaresses c’est surement un islamiste déguisé ou un ancien membre du FLN.
« Qu’est-ce qui t’a pris d’ouvrir ta gueule ? » demande Marcel Bigeard à
son camarade de combat, le général Paul Aussaresses, ancien de la
France libre, baroudeur de légende, quand il a commencé de livrer ses
souvenirs sur la guerre d’Algérie dans son ouvrage Services spéciaux -
Algérie 1955-1957 (Éditions Pion et Perrin, 2001). En disant clairement
que oui, il avait torturé et qu’il en avait reçu l’ordre, le général
Paul Aussaresses a provoqué un beau tohu-bohu médiatique qui s’est
soldé par sa condamnation pour apologie de crimes de guerre en 2003 et
sa démission forcée de l’ordre de la Légion d’honneur. Tout le monde
lui tourne le dos, mais son témoignage en déclenche beaucoup d’autres.
Jean-Charles Deniau, qui l’avait interviewé dans son documentaire
« Paroles de tortionnaires » est retourné le voir dans sa retraite. Le
Général a bientôt 90 ans, il ne voit presque plus, il est fatigué, mais
les souvenirs de toute sa vie de soldat et d’agent secret - il a été
membre du service Action du SDECE - sont intacts, comme son humour à
froid et sa façon particulière d’énoncer les faits. Lui qui a désobéi
pour la première fois de sa vie en 2001, en brisant la loi du silence,
a décidé de ne pas « rentrer dans le rang » et de récidiver. Est-ce le
défaut de reconnaissance qui l’accable aujourd’hui, depuis que la
Légion d’honneur lui a été retirée, ou le tourment inavoué de sa
conscience qui pousse Paul Aussaresses à affirmer : Je n’ai pas tout
dit ? Répondant aux questions sans complaisance de Jean-Charles Deniau
et Madeleine Sultan, il se confie, et c’est un demi-siècle de coups
tordus, de guerre froide, de ventes d’armes, d’affaires jusqu’ici
tenues secrètes qui se dévoilent dans ce livre. Les gouvernements de
droite comme de gauche se succèdent sans que rien ne change dans un
monde où tous les coups sont permis. Paul Aussaresses répond aux
questions, n’a rien oublié et raconte : les ventes d’armes à toutes les
dictatures, en particulier à celles d’Amérique latine, sous Giscard
comme sous Mitterrand, la formation des futurs officiers tortionnaires
du Chili et d’Argentine par des instructeurs français, les opérations
« homo » (homicides) en Afrique, Klaus Barbie-Altman opérant pour
l’industrie française en toute tranquillité, en Bolivie. Enfin, ultime
révélation, Paul Aussaresses nous permet d’éclaircir un des derniers
grands mystères de la guerre d’Algérie. Pour autant, le Général a-t-il
tout dit de lui-même ? A-t-il consenti à revenir sur ces fameuses "
circonstances " qui semblent avoir, au fil d’un irrésistible processus
paralysé les plis de sa conscience ? Tout au long de ces entretiens très
serrés, Jean-Charles Deniau et Madeleine Sultan ont cherché à explorer
la question du libre-arbitre et de la responsabilité de l’officier en
temps de guerre, qui s’est posée à chaque étape de cet itinéraire sans
retour.
@Alois de devoir obéir à des veillards à moitié gâteux qui décident de tout sans en référer à personne au nom du coran
Pauvre ignorant il n’y a pas de clergé en islam sunnite,la relation se fait de l’homme à dieu,le Vatican islamique ça n’existe pas,il faut te renseigner mon ami au lieu de baigner dans la bêtise.
@Chantecler « l’Islam radical » Sous cette appellation figure désormais tout et n’importe quoi,du combattant refusant l’occupant de son territoire et résistant par les armes à des groupes transnationaux millénaristes dont les motivations sont pour le moins obscurs,que veut dire l’islam radical quand on connait un tant soit peu les manipulations dont ces groupes ont fait l’objet et ont été utilisé par les services occidentaux pendant des décennies,des attentats sous faux drapeau ne sont pas une fable,la montée de la violence confessionnelle est le produit de politiques délibérées visant à fractionner en particulier le proche orient en petites entités politiques,territoriales et confessionnelles. On a volontairement éliminé le nationalisme séculier ,tous les progressistes prêt à construire des sociétés dans le respect des différences ont été éliminé on soutien des autocrates, des dictateurs de tout poil,on a poussé sur le devant de la scène les éléments les plus radicaux,fabriquer des fanatiques,on fait désormais un mélange de tout pour détruire la résistance dont la matrice idéologique est d’essence religieuse,je n’invente rien il suffit de retracer l’histoire du dernier demi siècle. Beaucoup me trouvent surement très excessif,mais le cynisme de ce monde nous laisse il d’autres alternatives ?j’exprime mes idées haut et fort c’est tout,quand je vois à quoi on nous réduit désormais une simple cinquième colonne prête à prendre le pouvoir je trouve cela pour le moins ridicule,de quelle force disposons nous,aucune responsabilité, politique, médiatique, économique,je pense que la matrice coloniale continue à influencer la vision politique le discours médiatique de la gestion des minorités,la construction de l’ennemi intérieur nécessaire au renforcement des outils de coercition dans un contexte de guerre globale.