Que ça me plaise ou non, je le dis avec la même sincérité. J’essaie de replacer l’art dans son contexte social psychologique voire géopolitique... Ambitieux, me dites-vous ? La plupart du temps, j’essaie humblement de vous donner mes impressions sur tel ou tel spectacle, film ou événement.
Au fait que devient ce bon vieux k-libre du collectif truand de la galère ? Je me suis intéressé à morsay (dont le rap est vraiment mauvais) suite à des clash video hilarant au second degré....
Ne vous fâchez pas, cher Samuel, je suis d’accord avec vous sur le fond. Effectivement, je me suis éloigné dans mon post de votre idée de départ que je trouve très intéressante, néanmoins, mais pas assez développée dans votre article. Je ne voulais pas vous critiquer gratuitement, au contraire, je pense que votre idée mériterait une rédaction à la fois plus concise et plus complète. J’apprécie la rapidité de votre réponse, de mon coté, qui prouve qu’en plus d’exprimer des idées intéressantes, vous êtes vraiment intéressé par le sujet... Le mot superficiel est sans doute trop fort, mea culpa !
Correction Ligne 1-2 :« Rien de nouveala fonctionu dans le débat » = rien de nouveau dans le débat ligne 13 : « mise sous tutelle du ministère de l’éducation »=ministère de la culture mis sous la tutelle du ministère de l’éducation.
Alors, là, en voilà une façon nouvelle de s’étaler sur la question. Rien de nouveala fonctionu dans le débat, à part une analyse superficielle -quoique très longue- de la politique du contre-feu. Cependant, une question me taraude en lisant cet article : Mitté n’aurait il été nommé que parce que son image et le contenu de son personnage médiatique recélaient un tel débat sur la pédophilie ? (Je ne suis pas de ceux qui croient à ses explications sur l’age des prostitués Thaïlandais). Au moment de sa nomination, une voix discordante faisait railler : celle de Jack Lang affirmant qu’on lui avait proposé le poste. Bizarre : son personnage médiatique semble recéler le même débat... Au delà du débat sur la castration chimique n’y a-t-il pas un moyen de décrédibiliser la fonction de ministre de la culture ? Nous savons que Sarko voulait fusionner Culture et Education au niveau ministériel.... Ne voila-t-il pas un argument sarkosien de plus pour la moralisation de la culture, qui peut passer par une mise sous tutelle du ministère de l’éducation ?