Vous parlez du Japon : la langue de ce pays absorbe un nombre délirant et sans cesse croissant de mots anglais qui, pourtant, ont tout à fait leur équivalent en japonais. On connaît l’esprit pragmatique japonais, mais cela justifie-t-il un tel destruction de la langue de ce pays ? J’en doute.
Quant au français : je suis loin d’en être un expert mais je pense qu’il est plus que malheureux de l’abandonner au profit de l’anglais qui est une langue étrangère, celle des dominants, celle des parasites qui tentent, par tous les moyens, de détruire ce qui peut nuire à leur domination.
Ce qui est à se demander, peut-être... : cette question du mariage homo aurait-elle pris une telle tournure si le pays allait bien économiquement ? Je n’en suis pas sûr. Le gouvernement a peut-être -au lieu de détourner simplement les esprits vers un sujet moins grave que le délitement économique et professionnel de notre pays (ANI...)- réussi, contre son gré, bien sûr, à reporter les peurs, les peines, les difficultés de notre concitoyens sur ce sujet qui n’a pourtant que bien peu d’intérêt.
Et les frustrations qui ne peuvent s’exprimer devant une volonté trop fort pour elles, s’expriment devant une plus faible... Violemment, s’il le faut.
Deux personnes du même sexe qui se marient : et alors... Je m’en moque éperdument. Qu’ils veuillent adopter ? Pourquoi pas... Les conditions d’adoption étant ce qu’elles sont en France, elles seront aussi pénibles pour les homos qu’elles le sont pour les homos, non ?
Trop de blablas sur ce sujet qui n’a que bien peu d’intérêt pour la France et et aucun sens face à son état économique, et donc social, déplorable.
Dernière petite précision... Je dis souvent « nous » dans mes maigres mots, car je ne me considère évidemment pas différent des autres. Cela n’empêche pas que voilà déjà 6 ans que je me suis débarrassé de mon téléviseur. Ce petit geste n’ayant jamais été que le résultat de nombreuses années où je me demandais bien ce que je faisais encore avec ce truc chez moi, celui-ci n’étant mis en route que le temps de glisser un DVD dans le lecteur...
Je crois que c’est un geste dont nombreux seraient ceux qui y verraient rapidement un bénéfice... Mais pas tous, la télévision étant leur « passe-temps » (et dieu que cette formule a un sens profondément triste quand on y réfléchit) favori et s’en passer les priverait d’un loisir qui a cet avantage de ne pas nous obliger à réfléchir... sur nous-mêmes.
Désolé d’avoir été si long pour si peu... J’arrête et je laisse parler plus instruit.