« Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d’abord par l’inflation, ensuite par la récession, jusqu’au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis. »
Ce débat ne sert à rien, comme il ne sert à rien de se branler le cerveau sur la burqa ou l’ultragauche, en 2002 chirac a opposé son soi-disant camp républicain à l’autre camp, comme sarkollini s’est enorgueilli en 2007 de ramener les électeurs de le pen dans ce même camp républicain.
Quelle farce, ces deux camps sont républicains (au sens éthymologique du terme),et presque identiques au passage, et c’est là le drame, ils ne sont pas démocrates (toujours dans le sens éthymologique du terme).
Le pouvoir au peuple. Soit on y arrive, soit je vous souhaite une bonne crise.