• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Ben

Normand, informaticien et passionné de politique.

Tableau de bord

  • Premier article le 26/03/2008
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
L'inscription 1 29 44
1 mois 0 0 0
5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • Ben 10 janvier 2008 16:30

    "Même remarque que + haut avec "religieux", vous élargissez subjectivement la définition de "évolution", ce qui amène à du n’importe quoi."

    Votre remarque appel une explication. C’est un peu léger.

    Voici la défintion de évolution dans le dictionnaire en ligne de l’académie française avec en gras le sens qui me semble convenir à ma phrase. Merci de me démontrer en quoi j’ai tort.

    (1)ÉVOLUTION n. f. XVIe siècle. Emprunté du latin evolutio, « action de dérouler, de parcourir », dérivé de evolvere, « dérouler », de volvere, « rouler ».
    1. Action de se mouvoir en tournant. L’évolution de la Terre autour du Soleil (on dit plutôt Révolution). MARINE. Un navire en évolution, qui tourne sur lui-même pour changer de cap. 2. MILIT. Mouvement concerté, exécuté par une formation militaire pour changer de position. L’évolution d’une escadre, d’une formation aérienne. Escadre d’évolution, voir Escadre. Par ext. Le plus souvent au pluriel. Mouvements variés et ordonnés. Admirer les évolutions d’une danseuse étoile, d’un acrobate, d’un cheval de cirque. Suivre les évolutions d’un avion, d’un oiseau. 3. Suite de transformations progressives, de développements graduels, de modifications. L’évolution des idées, des mœurs, des sociétés, des techniques. Les grandes étapes d’une évolution. Un processus d’évolution. Une lente évolution. L’évolution des genres littéraires. Cette ville, ce quartier est en pleine évolution. Spécialt. MÉD. L’évolution d’une maladie. Une maladie à évolution rapide. On craint une évolution fatale. - LINGUIST. L’évolution d’une langue. L’évolution phonétique, orthographique et sémantique d’un mot à partir du latin. 4. BIOL. Se dit de l’ensemble des transformations qui ont affecté ou qui peuvent affecter les espèces vivantes. L’évolution des Équidés. La longue évolution qui a conduit à l’homo sapiens. Théorie de l’évolution des espèces ou, ellipt., théorie de l’évolution, théorie ébauchée par Lamarck, puis largement développée par Darwin, selon laquelle les espèces vivantes dérivent les unes des autres par transformations successives (on dit aussi Évolutionnisme). - PHIL. Suite de transformations ordinairement conçues comme graduelles et continues, qu’elles soient soumises à une finalité, régies par une loi, ou contingentes, fortuites. Spécialt. Évolution créatrice, chez Bergson, création sans cesse continuée et renouvelée par laquelle l’élan vital s’accomplit dans des formes de complexité croissante. Titre célèbre : L’Évolution créatrice, d’Henri Bergson (1907). 5. ASTRON. Modification continue de l’état physique d’une étoile, d’une galaxie, etc. Se dit aussi des changements profonds de structure qui affectent la matière, tel le passage de l’état gazeux diffus à l’état stellaire.



  • Ben 10 janvier 2008 14:52

    "La différence entre les salopards qui tuent au nom de Dieu, et les salopards qui tuent pour d’autres idéologies, c’est que les idéologies "divines" ( consultez le catalogue ) se prétendent parfaites, et sont donc indiscutables et non-évolutives"

    Perdu. Prenez l’exemple du christianisme. C’est une évolution du judaïsme. Ce n’est pas un schisme. De plus les positions de l’Eglise évolue. Exemple sur la théorie de l’évolution avec la prise de position de JPII qui disait que c’était plus que des théories, et par exemple la réhabilitation de Galilée. Il y a aussi l’exemple du repentir sur l’inquisition.

    Comme toutes les idées, à partir du moment ou un idiot ou quelqu’un d’intéressé veut s’en servir pour autre chose, il arrivera à ses fins pour lever les foules.

    - prétexte du conflit de civilisation pour... le pétrole d’Iraq ?

    - prétexte de l’hérésie pour la prise de contrôle du sud de la France par les seigneurs du Nord durant la croisade contre les cathares

    - Nietzsche lui même, ce père de l’Athéisme (cet athéisme qui permettrait le progrès et qui libérerait l’Homme des béquilles de la foi), fut utilisé par les Nazis. Comme quoi que ce soit du religieux ou du laïc, si on veut détourner des textes (bible, coran ou traité philosophique) on y arrive... Les textes de Nietzsche n’ont que quelques siècles et pourtant on est obligé de se battre pour les remettre dans l’ordre. Alors vous imaginez dans 2000 ans...

     

     



  • Ben 10 janvier 2008 14:00

    "Votre procédé ne change pas. Vous faites plus qu´ une faute de logique, vous faites des fourberies, vous inventez, vous calomniez.

    Je n´ai jamais dit que la laïcité est négatrice de l´existence de la religion."

     

    Vous ne l’avez peut-être jamais pensé, mais vous l’avez écrit, peut être sans comprendre le sens du mot négateur. Ma position n’est pas pieuse, c’est juste une question sur la langue française. Je ne pense pas être fourbe. Eventuellement mauvais en Français

    "Je ne pense pas que vous arriverez à prouver qu´il était correct d´écrire négatif en prouvant que négateur est incorrecte. Car le sujet initiale n´est pas la justesse de l´adjectif négateur mais de l´adjectif négatif."

    Aie aie, apprenez à lire. Je pense m’être bien exprimé car vous dîtes vous même en me citant : "vous-même reconnaissez que le "concept de laïcité est bien positif pour la société !!!" Je ne cherche pas à démontrer que l’auteur a raison car comme vous je pense qu’il a tort. Mais je pense aussi que vous avez tort, même si vous vous cachez en disant que votre "concept négateur" n’est pas l’objet de l’article.

    Et je propose même une définition avec une forme positive :

    L’erreur est peut-être de donner une définition comprenant une forme grammaticale de négation, alors qu’on peut dire :

    "La laïcité désigne le principe de séparation des pouvoirs politique et administratif de l’État du pouvoir religieux."

    Bref vous m’attaquez alors que je suis d’accord avec vous. Au moins sur ce point car je ne suis pas matérialiste pour le reste

     

    "Il aurait pu dire sans problème : Force est de constater que la laïcité se défini par des négations : on ne reconnaît pas…"

     

    oui

     

    "Qu´un concept soit défini par des négations ne qualifie pas pour être un concept négatif, mais bien un concept négateur par définition"

     

    A mon avis non... cf mes explications précédentes. Votre phrase "se défini par des négations" me semble mieux.

     

    Enfin on va mettre ça sur l’heure tardive de nos posts...

     

     

     



  • Ben 9 janvier 2008 23:51

    Le texte initial est le suivant :

    "Force est donc de constater que la laïcité reste un concept négatif : on ne reconnaît pas, on ne finance pas (loi de 1905), on exclut de la sphère publique d’Etat (Constitution de 1958)."

    Donc pour vous il aurait fallut écrire :

    "Force est donc de constater que la laïcité reste un concept négateur : on ne reconnaît pas, on ne finance pas (loi de 1905), on exclut de la sphère publique d’Etat (Constitution de 1958)"

    C’est à dire que la laïcité est un concept qui nie la religion ? ça ne marche pas... Les définitions que l’auteur donne ensuite ne parle pas ne nier la religion ou le fait religieux, mais bien de la déconnecter de l’état, pas de nier son existence.

    L’erreur est peut-être de donner une définition comprenant une forme grammaticale de négation, alors qu’on peut dire :

    "La laïcité désigne le principe de séparation des pouvoirs politique et administratif de l’État du pouvoir religieux."

    La faute de grammaire est de mettre négatif derrière concept, négatif étant un adjectif qui qualifie le nom concept. ALors que le concept de laïcité est bien positif pour la société.

    Aïe j’ai toujours été nul en grammaire. Est-ce qu’un prof de français peut me corriger ?



  • Ben 9 janvier 2008 23:33

    Même réaction que vous, direction le dictionnaire, celui de l’académie Française :

    (1)NÉGATEUR , -TRICE n. XVIIIe siècle. Emprunté du latin chrétien negator, « celui qui nie, renégat, apostat ».
    1. Personne qui nie par habitude ou par système, qui a la passion de nier. Adjt. Un esprit négateur. 2. (Suivi d’un complément.) Personne qui nie la valeur, l’existence d’une chose déterminée.

    Michel nous définit son rêve : une république laïque négatrice de la religion et qui ferait la promotion donc de l’athéisme. Est-ce que je commet une faute de logique ?

     

     

     

Voir tous ses commentaires (20 par page)

LES THEMES DE L'AUTEUR

Europe Europe Armée

Publicité


Publicité



Palmarès

Publicité


Agoravox.tv