Mais vous oubliez le plus important : il ne faut pas trop prendre les gens pour des cons mais il ne faut pas oublier qu’ils le sont.
En Occident, au moins 90 % de la population est ainsi irrécupérable ; inutile de chercher un quelconque bouc-émissaire tel que les élites, les immigrés, les juifs, les multinationales, les fonctionnaires, etc... ; les responsables du merdier actuel, c’est la masse de tous les gens épouvantables, sans aucun bon sens, d’une bêtise absolue, d’une méchanceté crasse, d’un égoïsme et égocentrisme brutal... (toute religion, couleur de peau, orientation politique, origine sociale, confondues) Et ils n’ont aucune honte à s’afficher partout (et parait-il à la TV que je ne regarde pas), leur puanteur psychique se répand sans cesse, inonde l’internet dans ses moindres recoins.
Votre article est de la propagande nauséabonde, une récupération abjecte d’un fait divers, tout ça pour vous donner bonne conscience (sic) - ou alors, vous êtes payé, ce qui est encore plus ignoble.
Rien que la première phrase de cet « article » dénote votre hystérie :
Encore encore et encore, les juifs sont pris pour cibles, séquestres
violentés dépouillés, assassinés, rien ne leur sera épargné.
- écrit dans une totale précipitation, il manque trois virgules, un accent aigu. - trois fois le mot encore, pourquoi ? Un seul aurait suffit, puisque vous ne faites référence qu’à un seul fait divers. - vous généralisez à tort : vous écrivez « les juifs » et non « des juifs » comme il le faudrait. - aucune personne n’a été assassinée dans ce fait divers ; pourquoi rajouter « assassinés » ??? Rajoutez alors, « égorgés », « démembrés », « pendus », tout ce qui vous passe par la tête, non ? - « rien ne leur sera épargné » : allez donc dire cela aux rescapés de Saint-Martin !
c’est ce qui nous attend en Europe à la prochaine catastrophe ; quelques extraits :
Des bandes de voyous ont en effet dévalisé le
bâtiment des douanes, qui a été très abimé et ont volé le stock d’armes
qui s’y trouvait. Depuis jeudi soir, ils sillonnent l’île masqués et
cagoulés et s’attaquent aux maisons encore debout dans lesquelles les
habitants se sont réfugiés« , raconte-t-elle, au bord des larmes.
»Je les ai eu hier soir au téléphone, ils sont tétanisés de peur. Ca
tire autour de notre maison dans laquelle ils sont barricadés avec six
amis qui sont chez nous parce leur villa a été détruite, poursuit-elle.
Ils ne peuvent pas sortir. Ils disent que les agresseurs circulent par
bande de dix, sont sans foi ni loi et sont prêts à tirer pour récupérer
de la nourriture ou de l’argent."
Ses dires sont corroborés par les témoignages d’autres résidents de
l’île, qui, sur les réseaux sociaux, racontent que ces gangs défoncent
les portes des maisons et disent « dehors les blancs ».