On observe bien souvent dans l’histoire de l’ufologie des comportements étranges pour ne pas dire irrationnels. Comment peut-on passer d’une croyance naïve à un scepticisme maladif ? Pourquoi détestent-ils à ce point ce qu’ils ont apprécié ? Dans de nombreux cas on détecte une rupture provoquée par des problèmes d’égos et de frustrations.
Scepticisme ufologique : Les sceptiques et leurs arguments
Les « debunker » scientifiques et les socio-psychologues ont un rejet quasi pathologique voir idéologique du phénomène ovni. Un sceptique pur et dur ne changera pas d’avis sauf s’il n’y a pas d’échappatoire. Or il semble que le phénomène ovni, le plus souvent laisse à ceux qui n’ont pas été témoins directs la possibilité d’esquiver une vérité qui les déstabiliserait...
« Les raisons sont peut être plus dramatiques que ça, nos esprits humains sont bâtit sur la dualité, il suffit qu’une personne dise blanc pour qu’il y ait aussitôt quelqu’un pour dire noir tout ceci n ayant pour unique motivation l’expression d’un ego sans aucun contrôle. »
Les sceptiques utilisent d’innombrables excuses, scientifiques ou pas pour soit disant expliquer les Ovnis. Tout est bon pour nier le phénomène ovni. On peut analyser cela d’un côté psychologique et sociologique. De nombreuses personnes ont peur de l’hypothèse extraterrestre, ils vont donc exprimer cet état d’esprit dans leur propre « étude du phénomène ». C’est à dire qu’ils vont tenter de se rassurer en formulant des hypothèses tirées par les cheveux. Ainsi on constatera un discours classique du genre « toutes les réponses même le plus absurdes sont valables sauf bien sûr l’hypothèse extraterrestre » trop destabilisante.
ummo reptilien etc c’est bidon arrêtez de dire n’importe quoi. Par contre il y a des faits serieux :
Ovni les observations des pilotes
Depuis 1947, plus de 3500 pilotes civiles et militaires ont bravé la peur du ridicule et mis leurs carrières en péril en rapportant leurs observations d’OVNIs publiquement. Sachant que seuls 10 % des témoins tout-venant contactent les autorités, on peut raisonnablement supposer que ce pourcentage est encore inférieur s’agissant des pilotes.