On ne connait rien du contexte, certes. Mais les seuls éléments vérifiables et avérés sont des éléments à décharge pour Florence Cassez (Fausse arrestation en direct et rétractation d’un témoin à charge par exemple). Inversement les éléments à charge sont des éléments subjectifs (témoignages pour le moins sujets à caution de victimes du gang, affirmation selon laquelle Florence Cassez « ne pouvait pas ignorer ce que faisait son ami » alors qu’en réalité c’est tout-à-fait plausible pour des tas de raisons, etc....). Et ce qui est sûr c’est « qu’on ne peut pas faire confiance à la justice mexicaine » !
Tout-à-fait d’accord avec l’article, mais il manque un élément important : en mai 2009, le Président Calderon (et le PAN) étaient à deux mois d’élections importantes et difficiles pour eux (et que le PAN a d’ailleurs finalement perdues). Il était donc important de ne pas se mettre à dos la population mexicaine, qui n’aurait sans doute pas accepté le transférement (vu comme une libération déguisée) de Florence Cassez en France.