Zuckerberg n’est pas devenu honnête du jour au lendemain, accablé par le poids des remords. En fait, Trump a menacé de le foutre en prison jusqu’à la fin de ses jours, pour sa participation à la fraude électorale de 2020.
Ca l’a aidé à prendre les bonnes décisions pour la liberté d’expression sur Facebook !
Sa démarche manque de sincérité, j’espère qu’il fera quand même l’objet de poursuites.
@xana Il faudrait déjà que tous les participants de la démocratie soient honnêtes, c’est un prérequis indispensable. Avec une secte sataniste étrangère qui s’est infiltrée au sommet du pouvoir depuis des siècles, c’est mal barré. Non, non, je n’exagère pas.
Il faudrait aussi que les citoyens s’intéressent à la politique et qu’ils prennent les bonnes décisions, de ce côté-là aussi c’est pas gagné. Faut-il construire un nouvel EPR ? Et un nouvel avion de chasse ? Il faut dévaluer ou augmenter la valeur de la monnaie ? Ben, euh, je sais pas. Sortis de leurs affaires quotidiennes, les gens n’ont pas d’avis pertinents, et ils s’en fichent.
"Non, le risque pour la démocratie réside ici dans le recours à la
collecte de données personnelles à des fins de ciblage politique, à la
large diffusion de publicités mensongères, à la circulation de messages
soutenant les théories du complot, bref aux mensonges.«
Ca, il faut le faire, venir ici balayer d’un revers de main »les mensonges des théories du complot", alors que sur le seul site Agoravox, des milliers d’articles et de commentaires ont prouvé leur réalité de toutes les manières possibles. C’est d’un mépris absolu pour tous les auteurs qui vous ont précédé. Et on notera la belle inversion accusatoire : le Système mafieux, qui ment comme il respire, devient selon vous la victime des chercheurs de vérité et des internautes. On dirait du Thierry Breton.
En une phrase, vous êtes complètement décrédibilisé.
Première nouvelle, il est président du parti social-démocrate SMER et il a fait toute sa carrière à gauche.
Il est simplement contre les migrants et il s’est opposé aux sanctions contre la Russie. Il suffit dorénavant de défendre les intérêts de son pays pour être qualifié d’extrémiste de droite. C’est pareil en France, d’ailleurs. La ficelle est un peu grosse.