s’il est libre de droit, ce texte n’est malheureusement pas sans fautes. « M. le Député, je me permets ... » et 500 parrainages nécessaires. Dans la précipitation de sa rédaction, j’ose espérer que vous me pardonnerez.
Vous me dites primaire et ignare. Je ne demande qu’à apprendre, aussi je vous saurai grès de prendre quelques instants pour me sortir de mon ignorance. Je vous promets de m’appliquer ensuite à transmettre le savoir que vous m’aurez transmis.
Il est là le drâme .... Je vous détaille les différentes citations, liens à l’appui, qui mènent à la réflexion finale.
Et plutôt qu’une déconstruction argumentée de chaque points, vous m’accusez de cracher sur le drapeau, de caillasser des valeurs auxquelles je reste profondément attachées.
N’ai-je pas le droit de poser la question : qui manipule qui dans cette histoire ?
Suis-je encore libre quand au nom de l’anti-fascisme je me vois catalogué de la sorte ? Avec l’argumentaire consistant à me faire culpabiliser ...
Je suis français et fière de l’être, élevé avec la devise maçonnique « liberté, égalité, fraternité ».
Vous comprendrez que les événements m’aient fait réagir. Vous comprendrez également à la lumière de ces explications que je ne culpabilise pas de ma prise de position que je ne trouve pas en contradiction avec nos principes républicains.