Contre toute attente, le positionnement de Sarkozy très assumé à droite (il y a une nuance avec avec un positionnement assumé très à droite) parait jusqu’à maintenant électoralement très efficace. Les sociologues risquent d’avoir du travail après les élections pour comprendre les évolutions du corps électoral, et les « convictions profondes » des partisans d’un bord ou de l’autre ne sont pas d’un éclairage très utile pour cela.