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La loi du mort-kilomètre, votre vision du monde est biaisée
10264 visites 28 mar. 2019 | 20 réactions |
Derniers commentaires
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PMA, mariage pour tous, homoparentalité et droits de l’enfants, des sujets complètement différents qui n’ont rien à faire ensemble, et qui sont tous abordés dans l’article. Que cherchez-vous à démontrer ?
1/ La PMA ne concerne pas seulement les homosexuels, est possible en France depuis le début du xixe siècle. Rien de nouveau là dessus. Elle est possible extra-conjugalement (y compris pour les homosexuels) depuis 1972 en France.2/ Le mariage pour tous est nouveau, cela modifie les droits de succession en cas de mort d’un des conjoints du couple homosexuel.3/ L’homoparentalité est ancienne, aucune loi n’empêchant l’adoption d’enfants par des personnes se déclarant seules et vivant en couple. Le mariage pour tous ne change absolument rien pour les enfants adoptés par des homosexuels, si ce n’est les droits de succession en cas de décès d’un conjoint. Donc uniquement de la paperasse, qui ne modifie en rien la vie de l’enfant adopté.Conclusion : « l’impact majeur de l’homoparentalité sur le bien-être et le devenir psychologique des enfants » -> On s’en fiche, rien n’a changé là dessus ces 40 dernières années, le mariage pour tous ne change absolument rien pour les enfants, qui peuvent être adoptés par des couples d’homosexuels comme avant, sauf qu’avant ils n’étaient qu’a un seul nom. -
Qui se reconnait dans 100% du programme de l’UMP ? 1% de la population française ? 2% ? Guère plus. Guère plus dans le programme du PS, d’ailleurs. Les gens ont plutôt des « affinités » de droite ou de gauche. Mais se reconnaître complètement dans un parti politique, c’est rarissime.
Pourquoi sauver ce système qui ne prend pas en compte les aspirations des citoyens ? On ne demande pas au citoyen de choisir l’avenir de son pays, on lui demande de choisir entre 2 gouvernants, un de droite et un de gauche, aucun ne satisfaisant complètement de par ses décisions.Le système actuel n’a rien d’une démocratie, je ne vois pas pourquoi le peuple, dont tous les partis se fichent éperdument, devrait casquer pour maintenir ce système pourri. -
Aita Pea Pea, vous remarquerez que j’ai fait l’effort de développer une idée, avec des arguments (qui valent ce qu’ils valent). Quand à vous, vous vous contenter d’insulter, sans même contre-argumenter. Je trouve ça puéril et on ne peut moins constructif. Ma vision du monde vous gêne-t-elle tellement que vous êtes incapable d’en parler sans me ranger dans une catégorie ?
Qui plus est, en ce qui me concerne, je me considère libéral... -
La faute à l’Europe, on est esclave, gnagnagni ....
Le principe d’une société, quelle qu’elle soit, est de faire vivre des gens ensembles, qui ont des objectifs différents, des aspirations différentes, sous un cadre commun. Le cadre évolue, mais JAMAIS il est le reflet de la volonté du peuple. Il ne peut pas l’être, chaque personne possédant sa propre volonté. Une société, c’est contraindre des personnes. La société s’oppose à la liberté. Avec ou sans l’Europe.Passez une année sans lire un seul article politique, vous verrez que la vie reprend des couleurs. On s’en fout de l’Europe, ça n’impacte nullement notre potentiel à vivre heureux. -
Les français accordent surtout une importance trop grande à des choses complètement futiles, comme la richesse, le travail, la politique.
Ca m’a toujours fait halluciner comme les gens pouvaient mal prendre le fait de se faire virer. Le type, il passe d’un état hyper privilégié (mettons 1500€/mois), à un état privilégié, à 450€/mois dans le pire des cas. 450€/mois, c’est juste 200 fois le salaire que touchent les travailleurs dans d’autres pays, en se crevant le c*l 70h/semaine. Et le type, il va se suicider. Comme si le confort inutile de son quotidien lui était plus précieux que sa propre vie. Comme si devoir rembourser des dettes et vendre sa wii était la pire des choses qui pouvait lui arriver.Sans argent, on peut vivre. On se sert la ceinture, il y a des moments pas facile, mais on peut vivre. On découvre le monde sous un autre angle. C’est presque une expérience spirituelle. Pas de quoi se foutre en l’air ou déprimer.Les français sont des enfants pourris-gâtés, qui pleurent lorsqu’on leur enlève leurs jouets.
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