Ou ké kil est le rapport Perruchot sur le financement des syndicats (patronaux et salariés) ???? Le rapport Perruchot, du nom du député Nouveau Centre rapporteur de la commission d’enquête, a été enterré en novembre 2011
sans autre forme de procès. Officiellement, il ne pourra être publié
que dans trente ans ! De larges extraits du rapport avaient déjà été
édités dans Le Figaro. Le Point.fr vous le propose aujourd’hui dans son intégralité.
A l’auteur, Plusieurs points me chiffonnent : -la référence à un article du CFR think tank libéral US (page accueil du CFR) me fait froid dans le dos. -celle à Ben Bernanke (The Helicopter) me fait l’effet d’un saut d’eau glacée à la mode.
Je ne sais si c’est volontairement que vous ne parlez pas de l’effet de levier des réserves fractionnaires ou multiplicateur de crédit
Il ne faut pas confondre l’argent et la monnaie, ni l’argent et une reconnaissance de dette qui elle est matérialisée par votre relevé de compte. Lire l’article de Paul Jorion.
Personnellement, je préfère le concept d’une allocation universelle de vie après d’autres étapes comme : l’interdiction de la spéculation (jusqu’en 1885 en France) c.a.d. les paris sur les fluctuations de prix et ceci en abrogeant l’article L211-35 du Code Monétaire et Financier penser une autre société et une autre économie sociale et écologique.
Enfin une « bonne nouvelle », la BCE engage une filiale de Blackrock (fonds d’investissement US) pour lutter contre la déflation par l’achat de titres obligataires (futurs) émis par les entreprises. Bon certains vont se gaver
Bonsoir Olivier, toujours aussi pétulant et efficace.
Pour tous, je copie un extrait du livre d’un personnage politique connu, mais saurez-vous le reconnaître ? (réponse en bas de page) :
« Une haute
bourgeoisie s’est renouvelée. On est passé d’un patrimoine jusque-là
détenu par l’actionnariat familial, et transmis par héritage, à un
actionnariat managérial qui s’est lui-même autopromu, autorécompensé,
auto-organisé et autosolidarisé. Or il s’est trouvé par un fait de
circonstance – mais qui n’est pas sans conséquence sur le plan
idéologique – que c’est au moment où la gauche arrivait aux
responsabilités, en 1981, que cette mutation profonde du capitalisme
s’est produite.
Une génération – celle issue des cabinets ministériels des années
1980, de gauche comme de droite – s’est retrouvée aux commandes
d’entreprises parce que le capitalisme lui-même n’avait plus de
dirigeants, faute de familles suffisamment nombreuses, faute de
compétences assez solides. C’est l’appareil d’Etat qui a fourni au
capitalisme ses nouveaux bataillons, ses nouveaux cadres, ses nouveaux
dirigeants. Ainsi est apparue cette situation inédite où des hommes, des
femmes – plus d’hommes que de femmes – issus de l’Etat, de la haute
fonction publique, sont devenus non seulement des responsables
d’entreprise – cela s’était déjà produit dans le passé –, mais aussi des
détenteurs – en quelques années – de fortunes considérables. Venus
d’une culture du service public, ils ont accédé au statut de nouveaux
riches, parlant en maîtres aux politiques qui les avaient nommés.
Là est le fait nouveau. Un changement de hiérarchie s’est opéré dans
l’ordre des pouvoirs : “Puisque nous, nous avons réussi, puisque nous,
nous sommes les représentants du capitalisme mondialisé, nous savons
aujourd’hui ce qu’il faut faire. Nous le savons mieux que vous.” Aux
yeux de cette nouvelle aristocratie, l’argent est devenu une référence
bien plus fiable des représentations sociales que le mode d’attribution
du pouvoir politique. »
Bjr Bracam, J’ai bien écouté JLM, hier soir et il m’a paru sur le reculoir. Il veut conserver l’Euro, comme monnaie unique (ou comme monnaie commune ?) Il veut rester dans l’UE tout en voulant la « refonder » par la « désobéissance » Au final, il veut rester dans le cadre européen qui s’impose à tous. Dans le traité de Maastricht, le modèle économique fixé est l’économie de marché avec ses piliers de « la concurrence libre et non faussée » et « la libre circulation des... » et ce modèle est repris dans le Traité de Lisbonne qui étend les contraintes. Le TSCG fixe des contraintes et des normes extrêmement contraignantes qui complètent le Two-Pack, le Six-Pack et le PSC sans oublier la règle d’or. A moins d’avoir mal entendu, écouté, je n’ai pas compris qu’il souhaitait la mise en place d’un Euro monnaie commune destinée aux échanges internationaux, les pays de l’Eurozone revenant à leurs monnaies nationales dont la gestion serait garantie par une plateforme multilatérale de compensation, type bancor. pour éviter des écarts de change anormaux.
A propos, l’accord TAFTA ou TIPP est bien dans les tuyaux du Parlement Européen pour la partie Règlement des Différends Pour tout savoir, le site de Contrelacour