Reléguer cette question à un débat entre une gauche ’politiquement correcte’ et un pouvoir courageux dénote une grande faiblesse d’analyse.
Le seul soutient qu’obtient notre président en Europe est celui de Berlusconi. C’est assez significatif et on ne peut pas traiter ni Merkel ni Baroso de gauchistes.
Tout en continuant de détruire le contrat social, notre président détruit le contrat Européen de la France. C’est le résultat d’une politique basée sur la communication autour des émotions et d’une absence de vision politique à moyen et long terme.