@Mélusine ou la Robe de Saphir. Ma tante, rescapée d’Auschwitz, ne m’a pas parlé en des termes si plein de miel et de douceur quant aux femmes qui les surveillaient. Elles étaient, à ses dires cent fois pires que les hommes, et avaient la Schlag facile. Sans doute des vénusiennes de mars, oui ce doit être cela. La délicatesse des sentiments des femmes, quelle belle légende. On trouve beaucoup plus de poètes, de grands poètes chez les hommes, les femmes sont trop terre à terre.
Vite, je suis remonté voir la tête de celui qui avait écrit ce texte..... J’aimerais avoir une photo plus grande, pour l’afficher sur le mur de mon bureau. Dommage, j’ai pas mieux que ce me propose le site d’agora... On fera avec. Je vous admire !
Monsieur Onfray, parle de façon très décontractée, du cas des Harkis, rejetant leur problème comme devant être réglé par le nouveau gouvernement de l’Algérie, alors que ces hommes avaient choisi de servir la France, pays bâtisseur de l’Algérie. Monsieur Onfray n’a manifestement pas vécu ces drames, mais en délibère avec légèreté.
Voilà ce que j’avais écrit sous le laïus de Onfray :
"Désolé, M.Onfray, mais votre position à l’égard des Harkis et de De
Gaulle vis à vis d’eux est tous simplement ignoble. Les Harkis se sont
battus aux côtés des Français, ils devaient légitimement être conduits
en France après le cessez le feu. Les laisser là-bas, c’était signer
leur massacre, massacre qui a eu lieu d’eux et de leur famille. Le choix
des Algériens pour l’indépendance, impliquait à la France de sauver ces
supplétifs du crime prévisible à coup sûr. De Gaulle les a lâchement
abandonné, et vous l’excusez pour sa position que vous affirmez
légalement juste comme un Ponce Pilate qui se lave les mains de leur
sort connu d’avance. Non, De Gaulle n’avait pas légalement raison. En
l’approuvant, vous montrez que avez l’esprit d’un lâche, comme De
Gaulle."
Merci aux courageux officiers Français qui ont réussi à rapatrier leur supplétifs, leur évitant la torture et la mort.
Donc, nous ne devons après la fin de cette guerre d’Algérie, qu’une repentance envers ces hommes qui ont servi la France et L’Algérie française et leur famille que nous avons abandonné à une extermination cruelle et prévue d’avance.
Merci pour votre position envers eux, Moderatus. Je ne qualifierai pas monsieur Onfray, mais je rappellerai seulement que le Front Populaire fut le premier à dresser des camps de concentrations (n’ayons pas peur des mots !) en France.
Si nos politiques avaient travaillé correctement, en distribuant des masques, en testant systématiquement, en prenant immédiatement toutes les personnes atteintes en leur administrant de la Chloroquine et l’antibiotique adéquate, nous n’aurions jamais atteint les 22000 décès.
Parler de 60000, pour nous faire croire qu’on l’a échappée belle, fait partie de la stratégie du chaos, de la peur à distribuer gratuitement. Maintenant on va rester confinés en attendant une hypothétique deuxième vague qui ne viendra jamais, mais qui va nous enfoncer dans le marasme, la déprime, et la dépression économique.